mardi 28 septembre 2010

Un (nouveau) jour sans fin

Je viens de regarder Amour et Amnésie (50 First Dates) de Peter Segal avec les épatants Drew Barrymore et Adam Sandler, qui était vraiment super agréable. Très drôle et sympathique, avec un scénario pas si cruche qu'on peut croire au premier abord. Emouvant et vraiment rafraîchissant !

Résumé : La vie de Henry Roth est simple. Lorsque ce vétérinaire spécialiste des animaux marins polaires ne travaille pas au parc Sea Life de Hawaï, il se consacre à son autre passion : les aventures sans lendemain avec de jolies touristes en mal de romantisme. Henry refuse toute liaison sérieuse par peur de compromettre son rêve de partir en Alaska étudier les morses...
Pourtant, lorsqu'il rencontre Lucy, il est tout de suite fasciné. Enfreignant sa propre règle qui lui interdit de charmer des jeunes femmes du coin, Henry aborde Lucy, discute agréablement avec elle et obtient même un rendez-vous pour le lendemain.
Lorsqu'il s'y présente, Lucy ne le reconnaît pas et hurle à l'agression. Henry va découvrir que la jeune femme souffre d'une étrange maladie qui, chaque nuit, lui fait tout oublier. S'il veut vivre quelque chose avec elle, chaque jour devra être comme le premier...




Image hébergée par servimg.comAmour et Amnésie de Peter Segal (Etats-Unis, 2003) avec Adam Sandler, Drew Barrymore, Sean Astin, Rob Schneider, Blake Clarke, Dan Aykroyd...

jeudi 23 septembre 2010

Les 6 ans de Lost en musique



Il y a 6 ans jour pour jour, la chaîne américaine ABC s’apprêtait à diffuser, en prime time, une nouvelle série, présentée alors comme le carton potentiel de sa grille de rentrée. Les attentes sont à la hauteur du budget du pilote ambitieux, un record à l’époque. La série, créée par Jeffrey Lieber, J. J. Abrams and Damon Lindelof, s’intéresse à un groupe de survivants d’un crash d’avion perdus sur une île déserte (ou pas). Cette série, c’est bien sûr Lost, qui s’est achevé il y a quelques mois (le 23 mai dernier) après 121 épisodes inégaux, sans compter les contenus bonus type webisodes.

 

Si la qualité du programme a évolué, atteignant sans doute un pic créatif dans la saison 4 (marquant l’arrivée d’un nouveau ressort narratif, le flashforward, alors que chaque épisode comprennait jusqu’alors son lot de flashback), un des principaux atouts du show n’a jamais déçu : sa bande-son, signée pendant 6 saisons par le compositeurs italo-américain Michael Giacchino. Âgé de 43 ans, Giacchino a débuté dans la composition de BO de jeux vidéo que remarque un certain J.J. Abrams, alors à la recherche d’un musicien pour illustrer sa série Alias. Ainsi débute une collaboration qui continuera aussi bien en télé (Fringe) qu’au cinéma (Mission Impossible III, Star Trek). On lui doit d’efficaces soundtracks pour Pixar (Ratatouille, Là Haut) et celle, sans doute une de ses meilleures, du dernier film en date des frères Wachowsky (Speed Racer).
Mais revenons à Lost, dont la BO quasi omniprésente (un peu comme le travail de Mark Snow pour The X Files), a valu à son auteur un Emmy Award en 2005 (et une nomination en 2008). Le score de la sixième et ultime saison est sorti ces jours-ci chez Varese Sarabande, et peut être écouté gratuitement sur des plateformes comme Spotify et Deezer. Au programme, 51 pistes à durée variable (de 41 secondes à 7min55). La plus longue, c’est la dernière, Moving On, illustrant la scène finale et très contestée de la série. Violons qui dégoulinent ou piano délicat : c’est peu dire que la chose est bien plus écoutable sans les plans d’embrassades cul-cul au ralenti :


On notera que les titres des tracks contiennent parfois de savoureux jeux de mots (George of the Concrete Jungle, Hugo Reyes of Light) voire des références bien geek qui donnent envie de s’interroger sur la réalité de la vie : la flippante piste 35 s’appelle en effet Sayid after Dentist.

Bien qu’achevée, la série Lost continue sans surprise de motiver ses fervents fans sur le Net : l’encyclopédie Lostpedia publie toujours des articles, les journalistes s’interrogent toujours sur le sens global de la série (voir à ce titre le dossier de l’avant dernier Chronicart, qui consacrait sa couverture au show), la pop music rend ses hommages un peu opportunistes, le tumblr FuckYeahLost poste toujours du fan art plutôt inspiré. Quant au merchandising, l’officiel se porte bien avec les coffrets vidéo, et le non officiel aussi, la preuve avec ce joli dessous de plat :
Pas de souci, on y reviendra, on y reviendra.

dimanche 19 septembre 2010

Tinkerbell

Alors que Clochette se promène avec Vidia, elles aperçoivent dans un jardin une ravissante maison de fées. Désireuse de la visiter, Clochette s’en approche dangereusement, malgré les conseils de prudence de Vidia. Ce que la jeune intrépide ignore, c’est que la maison appartient à une petite fille de 9 ans du nom de Lizzy. Et lorsque cette dernière approche, il trop tard pour faire demi-tour ! Clochette se retrouve désormais prisonnière, révélant ainsi aux humains l’existence des fées. Vidia et ses amies vont dès lors tout faire pour la libérer… 

Ainsi est le résumé du nouveau Clochette.  
Il s'intitule Clochette et l'expédition féérique
Cet épisode fut précédé de La Fée Clochette en 2008 et de Clochette et la Pierre de Lune en 2009. Suivront Tinkerbell : A Winter Story (2011) et Tinkerbell : Race through the Season (2012). On a hâte !!! Car cet opus est à nouveau merveilleusement délicieux. A déguster sans fin. On en reprend dès que possible !!!



Image hébergée par servimg.comClochette et l'expédition féérique de Ernst Malsh et Bradley Raymond avec les voix (en VO) de Mae Whitman, Pamela Adlon, Lauren Mote, Kristin Chenoweth, Lucy Liu, Raven Symoné, Jesse McCartney, Michael Sheen...

mardi 14 septembre 2010

Oh bravo !

Un petit post pour parler de l'une de mes séries cultes : Code Quantum (Quantum Leap), créé par Donald P. Bellisario en 1989. La série compte 5 saisons. Elle fut diffusée sur NBC entre 1989 et 1993 et en France entre 1993 et 1994 sur M6.

Au générique de Code Quantum, deux personnages principaux, interprétés par Scott Bakula et Dean Stockwell, respectivement Sam et Al. En guest star, on a pu retrouver au fil des saisons : Michael Madsen, Neal McDonough, Jennifer Aniston, Teri Hatcher, Tia Carrere, Marcia Cross, Eriq La Salle, Brooke Shields...

Dean Stockwell remporta le Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle en 1990 et Scott Bakula le Golden Globe du meilleur acteur dans une série dramatique en 1992. La série obtient également de nombreuses autres récompenses.


L'histoire : Désirant voyager dans le temps, le Dr Sam Beckett, scientifique de génie, crée le projet Code Quantum. Pressé de donner des preuves sous peine de voir son financement supprimé, Sam décide de tester lui-même son prototype et se retrouve coincé dans le passé sous une autre identité. Son seul contact avec son époque est Al, l'Observateur du programme, que seul Sam peut voir et entendre. Il saute de corps en corps, réparant les erreurs du passé et espérant à chaque fois que le prochain saut sera celui qui le ramènera chez lui...

Une série riche en rebondissements, en surprises (Sam en femme dans plusieurs épisodes, Sam rencontrant Marylin, Sam en Lee Harvey Oswald...), en humour et en émotions (la fin, l'une des plus tristes de toute l'histoire des séries télé). Un "couple" d'acteurs en symbiose et un vrai bon souvenir de jeunesse. Culte !



Les 3 premières saisons sont édités en DVD zone 2. On peut également trouver l'intégrale en zone 1.


 

Image hébergée par servimg.comCode Quantum de Donald P. Bellisario (Etats-Unis, 1989-1993) avec Scott Bakula et Dean Stockwell.

dimanche 12 septembre 2010

I'll never be Lost again...



Une chanson, avec un superbe montage, réalisée en hommage à Lost par The Injustice League. Très beau.

samedi 11 septembre 2010

Waterloo !!!


J'ai pu voir Mamma Mia, réalisé par Phyllida Lloyd, avec Meryl Streep et Pierce Brosnan, et, oui Claudy, c'était bien sympa. Un vrai cocktail de vitamines ! Une adaptation hyper ensoleillée et drôle.On en oublie que le film est un peu décousu et qu'il n'y a pas réellement d'intrigue. Mais en même temps, on s'en fout un peu du scénario. Ça donne la pêche ! Et les acteurs se sont visiblement beaucoup amusé. Meryl Streep est toujours aussi belle et étonnante, Pierce Brosnan est décidément plus à l'aise dans la comédie que dans les James Bond et on retrouve avec plaisir Colin Firth et Stellan Skarsgard dans les rôles des deux autres pères potentiels. Ah oui, et puis aussi Dominic Cooper, qui était dans les plus dramatiques The Duchess et Sense and Sensibility (version BBC, où il jouait Willoughby). Alors, ce n'est pas un film transcendant, mais c'est une vraie confiserie !

L'histoire : En Grèce, Donna, la quarantaine, tient un hôtel méditerranéen isolé avec sa fille Sophie et le fiancé de celle-ci, Sky. Juste à temps pour son mariage prochain, Sophie poste nerveusement trois invitations destinées à trois hommes bien différents dont elle pense que l'un d'eux est son père. De trois points du globe, trois hommes s'apprêtent à retourner sur l'île - et vers la femme - qui les avait enchantés 20 ans auparavant.



Image hébergée par servimg.comMamma Mia ! de Phyllida Lloyd (Etats-Unis, 2008) avec Meryl Streep, Pierce Brosnan, Colin Firth, Stellan Skarsgard, Julie Walters, Dominic Cooper, Amanda Seyfried, Christine Baranski...

vendredi 10 septembre 2010

Le chant des sirènes

Syracuse, un pêcheur irlandais, découvre un jour dans son filet une jeune femme prénommée Ondine. Sa petite fille, Annie, se persuade qu'elle est une Selkie, une créature des océans. Syracuse, dont le quotidien est difficile, finit par tomber amoureux de Ondine...

A la fois conte romanesque et film social, Ondine est un joli film, plein de finesse, avec des comédiens très justes (Colin Farrell est encore une fois impeccable). Magique et poétique.

Image hébergée par servimg.comOndine de Neil Jordan (Irlande, 2010) avec Colin Farrell, Stephen Rea, Alicja Bachleda-Curus, Tony Curran et Alison Barry.

mardi 7 septembre 2010

Code Quantum

Lancée dans les nouveaux James Bond (moi qui ne suis pas vraiment accroc à 007), je dois dire que j'ai été autant séduite par le number 2 des opus Daniel Craig que par le number 1. Des scènes hyper spectaculaires et un acteur principal qui est pour beaucoup dans cette grande réussite. Quantum of Solace continue de relancer la franchise avec un nouveau souffle salutaire ! James Bond n'est vraiment pas mort !

L'histoire : Même s'il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l'organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu'ils avaient imaginé...
Bond est conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d'affaires impitoyable. Au cours d'une mission qui l'entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manœuvre pour prendre le contrôle de l'une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l'organisation et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique...
Pris dans un labyrinthe de traîtrises et de meurtres, alors qu'il s'approche du vrai responsable de la trahison de Vesper, 007 doit absolument garder de l'avance sur la CIA, les terroristes
et même sur M, afin de déjouer le sinistre plan de Greene et stopper l'organisation...




Image hébergée par servimg.comQuantum of Solace de Marc Forster (Grande-Bretagne / Etats-Unis, 2008) avec Daniel Craig, Olga Kurylenko, Mathieu Amalric, Judi Dench, Giancarlo Giannini, Gemma Arterton, Jeffrey Wright... 

Sacrifice

J'ai regardé Lettres d'Iwo Jima de Clint Eastwood, avec le grand Ken (Watanabe, hein, pas le mec à Barbie). Bien que je ne sois pas réellement fan du film de guerre en général, le film est très réussi. Lettres d'Iwo Jima est bien sûr le miroir de Mémoires de nos pères que Eastwood a consacré au point de vue américain (et que je n'ai pas encore vu celui là).

Un beau chant funèbre, humaniste, dans la veine des meilleurs films du réalisateur.

L'histoire : En 1945, les armées américaine et japonaise s'affrontèrent sur l'île d'Iwo Jima. Quelques décennies plus tard, des centaines de lettres furent extraites de cette terre aride, permettant enfin de donner un nom, un visage, une voix à ces hommes ainsi qu'à leur extraordinaire commandant.
Les soldats japonais qu'on envoyait à Iwo Jima savaient que leurs chances de survie étaient quasi nulles. Animé d'une volonté implacable, leur chef, le général Kuribayashi, exploita ingénieusement la nature du terrain, transformant ainsi la défaite éclair annoncée en 40 jours d'héroïques combats...




Image hébergée par servimg.comLettres d'Iwo Jima (Letters from Iwo Jima) de Clint Eastwood (Etats-Unis, 2006) avec Ken Watanabe, Kazunari Ninomiya, Tsuyoshi Ihara, Ryo Kase, Shido Nakamura...

dimanche 5 septembre 2010

Over the rainbow

Le nouveau Sofia Coppola, Somewhere, avec Stephen Dorff et Elle Fanning (la petite soeur de Dakota) a l'air magique.
La bande annonce fait vraiment envie.
En tous cas, on a l'impression de replonger dans un second Lost In Translation...
De toute beauté...