lundi 28 juin 2010

A couper le souffle !



Vu (enfin) Le Prestige de Christopher Nolan avec Hugh Jackman et Christian Bale...

Ma foi... C'est, en gros, un chef d'œuvre !
Un film bluffant de bout en bout avec deux acteurs qui se volent mutuellement la vedette, comme leurs personnages. Un final incroyable. Christopher Nolan est vraiment un auteur-réalisateur remarquable ! Un suspense éclatant et un brillant tour de passe-passe !

Résumé : Londres, au début du 19e siècle. Robert  Angier (Jackman) et Alfred Borden (Bale) sont deux magiciens surdoués, promis dès leur  plus jeune âge à un glorieux avenir. Une compétition amicale les oppose  d'abord l'un à l'autre, mais l'émulation tourne vite à la jalousie, puis  à la haine. Devenus de farouches ennemis, les deux rivaux vont  s'efforcer de se détruire l'un l'autre en usant des plus noirs secrets  de leur art. Cette obsession aura pour leur entourage des conséquences  dramatiques...



Image hébergée par servimg.comLe Prestige (The Prestige) de Christopher Nolan (Etats-Unis, 2006) avec Hugh Jackman, Christian Bale, Michael Caine, Scarlett Johansson, Rebecca Hall, Andy Serkis et David Bowie.

samedi 26 juin 2010

Jane, Jane, Jane




Regardé The Jane Austen Book Club hier soir.

Un film léger et sympathique, qui emprunte plus aux comédies romantiques américaines qu'au génie de la grande Jane. Un plaisir de revoir Maggie Grace (la Shannon de Lost) et Emily Blunt (la belle Anglaise qui monte)...



L'histoire : Bernadette, une quinquagénaire six fois divorcée, a l'idée de fonder un club de lecture quand elle rencontre Prudie, une jeune enseignante de français très élégante et mariée, lors d'un festival de cinéma sur Jane Austen. Le concept est que chacun des six membres accueille à tour de rôle le groupe une fois par mois, pour discuter entre eux des six romans d'Austen. Les autres membres du club sont Sylvia, une femme au foyer quadragénaire récemment séparée de son mari, sa fille lesbienne de 20 ans Allegra ; Jocelyn, une célibataire heureuse de l'être, qui est amie avec Sylvia depuis l'enfance ; et Grigg, un fan de science-fiction que Jocelyn a invité à les rejoindre dans l'espoir que Sylvia et lui formeront un couple assorti...


Image hébergée par servimg.comThe Jane Austen Book Club de Robin Swicord (Etats-Unis, 2007) avec Amy Brenneman, Maria Bello, Kathy Baker, Maggie Grace, Emily Blunt, Hugh Dancy, Jimmy Smits...

jeudi 24 juin 2010

Théâtre anglais

Joyeuses Funérailles (Death at a Funeral) est une bonne comédie noire à l'anglaise (et anglaise de surcroit). Avec le beau Matthew Mac Fadyen (le Darcy de Pride and Prejudice 2006).

Des chassés-croisés improbables et des gags parfois très drôles (parfois aussi un peu lourds). Au final, l'ensemble, divertissant, manque toutefois d'émotion et reste un tantinet statique, avec une mise en scène sans grand éclat, qui relève davantage de la pièce de théâtre que du film...

A noter qu'un remake vient d'être réalisé. La même chose mais à l'américaine, et avec uniquement des acteurs afro américains. Sans grand intérêt à priori...

Résumé : Le jour des funérailles du patriarche, famille  et amis arrivent chacun avec leur dose de problèmes. Daniel, le fils,  va revoir son frère rival Robert, célèbre romancier parti vivre aux  États-Unis. Martha, la cousine, veut à tout prix faire accepter à son  père vieux-jeu son nouveau fiancé qui a accidentellement avalé une  pilule hallucinogène...
Mais les vraies complications commencent  lorsqu'un invité mystérieux, menace de dévoiler un terrible secret de  famille... Daniel et sa joyeuse bande vont user de tous les moyens pour  enterrer le père... et ses confidences.




Image hébergée par servimg.comJoyeuses Funérailles de Frank Oz (Grande-Bretagne/USA, 2007) avec Matthew MacFadyen, Rupert Graves, Alan Tudyk, Daisy Donovan, Andy Nyman, Ewen Bremner...

mercredi 23 juin 2010

Lost, l'ultime sondage




Sur Allociné.
Perso préféré, perso détesté, saison fétiche etc.
J'ai pas voté...

mardi 22 juin 2010

Emma

J'ai regardé Last Chance for Love (Last Chance Harvey) de Joel Hopkins avec Dustin Hoffman et Emma Thompson.

Ces deux prodigieux acteurs (le qualificatif "prodigieux" n'est pas suffisant pour rendre justice à ces admirables comédiens) illuminent une histoire d'amour douce amère conventionnelle. A voir pour ses interprètes, particulièrement émouvants...

L'histoire : Alors qu'il passe quelques jours à Londres pour assister au mariage de  sa fille, Harvey, un Américain d'une soixantaine d'années, divorcé, rejeté par sa famille et malchanceux  dans le travail rencontre par hasard Kate, une Londonienne tout aussi seule  que lui, qui pour de son côté subit la tyrannie de sa mère. Ils feront  un bout de chemin ensemble et plus si affinités...



Image hébergée par servimg.comLast Chance for Love (Etats-Unis, 2009) de Joel Hopkins avec Dustin Hoffman, Emma Thompson, Eileen Atkins, Kathy Baker, James Brolin...

dimanche 20 juin 2010

Brumeux

J'ai regardé et pas aimé Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier...
Le genre d'histoire qui me gonfle, le genre d'ambiance qui me gonfle.
Et on dirait que Tavernier a fait un copié-collé du style de Clint Eastwood.
J'ai regardé la fin en zigzag et j'ai rien compris...

L'histoire : New Iberia, Louisiane. Le détective Dave  Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de  très jeunes femmes. De retour chez lui après une investigation sur la  scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d'Elrod Sykes.  La grande star hollywoodienne est venue en Louisiane tourner un film,  produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet  Balboni. Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le  corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait  rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave. Mais à mesure que  Dave se rapproche du meurtrier, ce dernier se rapproche de la famille  de Dave...

Image hébergée par servimg.comDans la brume électrique (Etats-Unis, 2009) de Bertrand Tavernier avec Tommy Lee Jones, Peter Sarsgaard, John Goodman, Mary Steenburgen, Kelly McDonald...

Un dernier hommage à Lost


Source : LeTemps.ch

Par Nicolas Dufour


La série fantastique, qui s’achève ce samedi 19 juin sur TSR1, aura  collé à son époque tout en y résistant. Dernier salut à une œuvre  laboratoire, qui aura chamboulé la fiction TV.


«La crainte du danger est mille fois plus terrifiante que le  danger présent»: Daniel Defoe l’écrivait dans Robinson Crusoé,  lointain fondement de Lost. Le raisonnement peut  s’appliquer aux amateurs du feuilleton populaire le plus déroutant de la  décennie. Ce samedi soir, TSR1 achève sa diffusion, au terme de six  saisons. De toute évidence, les craintes et les espoirs des fidèles se  révéleront mille fois plus terrifiants que ce final réel.
On  entendra de la déception, des discussions enflammées entre experts,  voire des ricanements. La tonalité mystico-ésotérique, présente depuis  le début, mais qui s’accroît depuis la cinquième saison et semble  culminer dans le dernier chapitre, a certes poussé à des répliques  baroques, voire risibles – exemple avec Hurley, épisode 6X5: «Si ça se  trouve, ces squelettes, c’est nous.»


Mais comment ne pas applaudir  une dernière fois? Et s’il devait y avoir frustration, balayera-t-on  d’un revers de main ces six étés de télé? Certainement pas. Car ces  années auront changé la fiction TV. J’ai souvent plaidé ici pour cette  série, arguant qu’elle a atteint le cœur du principe du feuilleton. Par  son foisonnement narratif, sa pagaille même, sa manière d’ajouter des  couches à ce qui semblait déjà complexe, l’odyssée des naufragés de  l’Oceanic 815, et des autres, a propulsé le rendez-vous télévisuel à un  autre niveau. A une autre dimension.

Si Lost a  suscité de  telles cogitations chez ses aficionados, c’est parce qu’elle a  instauré, restauré plutôt, un  rôle classique pour ses auteurs. Démiurges et vendeurs de salades à  la fois. Bateleurs assurant de leur contrôle absolu sur leur histoire,  aguichant les badauds. Mais aussi manipulateurs de génie, sourds aux  demandes ou aux suggestions de leurs paroissiens. A l’heure du Web 2.0,  le feuilleton aura enflammé Facebook ou Twitter, tout en restant en  marge, cloisonné dans son univers.

Pourtant, la modernité  expérimentale de la narration  aura collé à son époque. Lost, ce furent 121 épisodes  d’écriture hypertexte. Une fable  conjecturale, labyrinthique, peut-être sans morale. Une toile  tissée dans chaque épisode, jusqu’au souffle noir du logo «Lost»  précédant le générique. Une allégorie de masse, investissant tous les  canaux à partir du téléviseur. Conçue en phase avec son temps de réseaux  et de complots. Y compris dans l’habileté marketing, les indices  disséminés sur Internet, la pléthore de bonus en DVD… Et ce, au-delà de  la diffusion: l’édition intégrale, prévue pour la fin de l’année,  comporterait ainsi un épilogue inédit. Evidemment…

Si la messe n’est pas pleinement dite, faudra-t-il s’en plaindre? A  sa manière, parfois d’une stimulante naïveté, Lost a abordé  des thématiques d’une permanence absolue, la mort, la famille, la  reconstruction d’une société après l’hécatombe, l’identité et le temps…
On  ne règle pas ces questions-là. On n’achève pas Lost.
Et  pour les amateurs, de toute manière, c’est certain: chacun, à notre  manière, nous retournerons sur l’île.

samedi 19 juin 2010

Lostalgie

Un article à lire sur Allociné
ICI
Avec des souvenirs et des images inédites bien sympas...





jeudi 17 juin 2010

Cinderella



Hier soir, j'ai zyeuté A Tout Jamais (Ever After, a Cinderella Story) de Andy Tennant avec Drew Barrymore, Anjelica Huston et Dougray Scott. Bon, c'est pas une nouveauté car le film date de 1998, mais je ne l'avais jamais vu et c'est le genre de films qui me met de bonne humeur. Et c'était bien agréable ! Léger, charmant et sucré...

Résumé : Adaptation moderne de la célèbre légende de Cendrillon qui connaît dans le monde prés  de 500 versions (la première serait d'origine chinoise et  liée à la passion bien connue de ce peuple pour les petits pieds). Dans  cette version, Danielle, l'héroïne, n'a rien d'une victime et décide de  son propre chef de rester dans la maison paternelle après la disparition  de son père, entre sa maratre Rodmilla et ses deux sœurs, l'horrible Marguerite et  la douce Jacqueline. Cette Cendrillon est belle, libre et surtout éminemment  spirituelle et cultivée. Elle saura séduire le futur héritier du trône  de France...




Image hébergée par servimg.comA Tout Jamais (Ever After) de Andy Tennant (Etats-Unis, 1998) avec Drew Barrymore, Anjelica Huston, Dougray Scott, Melanie Lynskey, Judy Parfitt, Jeroen Krabbé, Patrick Godfrey, Megan Dodds et Jeanne Moreau.

Dharma etc.

Parce qu'il y a toujours des trucs à dire et à dénicher sur Lost...

Voici une carte très complète de l'île en image !

Pour ceux qui n'en ont rien à secouer, c'est quand même joli à regarder une carte, non ? Non ? Moi, j'aime bien...

Cliquez pour agrandir of course...

mercredi 16 juin 2010

Rise again


J'ai vu le Robin des Bois de Ridley Scott hier, avec Russell Crowe et Cate Blanchett (je veux dire que tous les deux jouent dans le film, je veux pas dire qu'ils étaient avec moi quand je l'ai regardé, hein). Une version très mature du mythe (nettement plus que la version des 2 Kevin -Reynolds et Costner), superbe et épique.

Robin est un homme du peuple et ne ressemble en rien à ses prédécesseurs (Errol Flynn, ses collants verts et son arrogance, Kevin Costner et son Robin pop-corn...).


Ici, Russell Crowe incarne un Robin modeste, sobre et délicat, assez éloigné de son Maximus (dans le Gladiator du même réalisateur). Et le couple qu'il forme avec la merveilleuse Cate Blanchett est tout simplement magique. Cette dernière interprète magistralement une Marianne fougueuse et lumineuse. Ses scènes avec Russell Crowe sont magnétiques. Deux acteurs en état de grâce...

La mise en scène de Ridley Scott est efficace et somptueuse. Le cinéaste revisite et dépoussière le mythe pour l'inscrire dans un contexte plus réaliste que les réalisations précédentes sur le héros de Nottigham. Une aventure médiévale dense et émouvante...

Le résumé : Où comment Robin devint Robin des Bois...
Bientôt le 13e siècle, Robin Longstride, humble archer au service  de la Couronne d’Angleterre, assiste, en Normandie, à la mort de son  monarque, Richard Coeur de Lion, venu défendre son royaume contre les Français.
De retour  en Angleterre et alors que le prince Jean, frère cadet de Richard et  aussi inepte à gouverner qu’obnubilé par son enrichissement personnel,  prend possession du trône, Robin se rend à Nottingham où il prend l'identité d'un gentilhomme tombé au combat, avec la bénédiction du père de ce dernier. Il trouve une alliée en la  personne de la veuve de celui qu'il incarne désormais, la belle et impétueuse Lady Marianne...







Image hébergée par servimg.comRobin des Bois (Robin Hood) de Ridley Scott (2010-États Unis)
avec Russell Crowe, Cate Blanchett, Max Von Sydow, Mark Strong, William Hurt, Mark Addy, Matthew Mac Fadyen, Eileen Atkins, Danny Huston, Oscar Isaac, Kevin Durand, Scott Grimes, Léa Seydoux...

lundi 14 juin 2010

Comédie 4 étoiles

J'ai passé un super bon moment en regardant le film de Todd Phillips, The Hangover (Very Bad Trip en français : qu'on m'explique pourquoi les gens concernés traduisent un titre anglophone par un autre titre anglophone ?!?)

Franchement, ça faisait hyper hyper longtemps que je n'avais pas rigolé comme ça devant un film ! Cette virée hilarante m'a éclatée. Excellent et absurde, avec 3 acteurs formidables (Cooper-Helms-Galifianakis : je ne connaissais que Cooper, qui était l'un des potes de Sydney dans Alias). Pourtant, je l'avais évité longtemps, échaudée par le bruit autour du succès du film...

L'histoire : Au réveil d'un enterrement de vie de garçon bien arrosé, les trois amis  du fiancé se rendent compte qu'il a disparu 40 heures avant la cérémonie  de mariage. Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et  rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s'est passé...

 

Juste en note : The Hangover m'a aussi fait penser au superbe film (méconnu) de Kevin Reynolds avec Kevin Costner, Fandango (Une Bringue d'Enfer en français : encore une traduction à la con) qui date de 1985 et qui raconte la virée de 5 potes avant le mariage de l'un d'entre eux et son départ prochain pour la guerre du Vietnam... A voir si vous avez l'occasion : c'est drôle et profond à la fois : le meilleur film de son réalisateur et l'un des meilleurs de son acteur principal...











Image hébergée par servimg.comVery Bad Trip (The Hangover) de Todd Phillips (2009) avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis, Heather Graham, Justin Bartha...

Image hébergée par servimg.comUne Bringue d'Enfer (Fandango) de Kevin Reynolds (1985) avec Kevin Costner, Judd Nelson, Sam Robards, Chuck Bush, Brian Cesak...

samedi 12 juin 2010

Règlements de compte

J'ai regardé 3:10 to Yuma de James Mangold, avec Russell Crowe et Christian Bale.

C'était pas mal du tout. Il y a certaines scènes qui sont assez formidables, comme à la fin, la fuite des deux personnages principaux vers le train...

Un bon western, même si le film ne révolutionne pas le genre et si on on n'est pas fana des hommes en chapeau de cowboy...

Bon, ça vaut aussi beaucoup pour Russell (bah oui, quand même !!!) et Christian (dont la personnalité m'irrite un chouilla) qui sont de sacrés bons comédiens. Ne crachons pas dans la soupe. Et puis j'ai bien aimé Ben Foster (que je ne connaissais pas) qui joue Charlie...

Sinon, pour les filles, un avertissement : c'est bien un film de mecs.

Le résumé : Revenu blessé de la guerre de Sécession, Dan Evans a établi sa famille dans un ranch. La sécheresse a ravagé ses terres, décimé son troupeau et miné la considération que lui portent sa femme et ses enfants, en particulier son aîné Will, âgé de 14 ans. A la suite d'une attaque de diligence, le célèbre bandit Ben Wade passe par la ville de Bisbee où il est arrêté avec le concours fortuit de Evans. Wade doit être convoyé vers Contention, à trois jours de cheval, pour embarquer sur un train à destination de Yuma, où se trouve le tribunal fédéral. Contre une prime qui peut sauver son ranch, Dan s'engage dans l'escorte qui doit accompagner le dangereux criminel. Il est bientôt rejoint par son fils Will, fasciné par l'aura du tueur.
Tandis que son gang organise son évasion, Wade engage sur le chemin de Contention un bras de fer psychologique avec ses gardiens, usant à la fois de la peur qu'il leur inspire et de la séduction qu'il exerce sur eux...




Image hébergée par servimg.com3:10 to Yuma de James Mangold (2007) avec Russell Crowe, Christian Bale, Peter Fonda, Ben Foster, Dallas Roberts, Gretchen Mol...

jeudi 3 juin 2010

L'Hebdo

Le dernier Hebdo Séries en date (numéro 34, du 3 juin) est entièrement consacré à Lost...

A regarder ici :
Hebdo Séries 34

Le meilleur est à la fin avec Jacob et MIB en pleine séance de psychanalyse...


mercredi 2 juin 2010

New Orleans

Avec Petite Loutre (et un peu Bébé Suricate), on a regardé La Princesse et la Grenouille. Et bien, on a beaucoup aimé ! Petite Loutre m'a demandé d'avancer les passages où on voit le "méchant" (comme d'hab), mais elle a regardé tout le reste.

Moi qui ne suis pas fan de jazz (l'inverse, même), j'ai beaucoup apprécié l'ambiance New Orleans.

Un très agréable moment...
Le résumé : Un conte qui se déroule à la Nouvelle-Orléans, dans le légendaire quartier français, où vit une jeune fille nommée Tiana.

Image hébergée par servimg.comLa Princesse et la Grenouille de Ron Clements et John Musker (Etats Unis, 2009)