mercredi 27 avril 2011

Circus !

Revu avec un immense plaisir Sous le plus grand chapiteau du monde -The Greatest Show on Earth de Cecil B. DeMille, avec Charlton Heston et James Stewart.

Je l'avais vu il y a bien longtemps, comme beaucoup, un après-midi de vacances (ou de jour férié) et c'est toujours un grand bonheur. Je suis ultra fan ! Un beau film sur les coulisses d'un grand cirque, un bel hommage à ces personnes qui voyagent pour faire rêver petits et grands. Des scènes spectaculaires et de grands acteurs. Et l'Oscar du meilleur film 1952. Par contre, pas d'édition Blu-Ray à priori, ce qui est dommage car l'édition DVD que j'ai acheté est particulièrement pourrie niveau qualité...

L'histoire :  Brad Braden, manager d'un grand cirque, engage Sébastian, un trapéziste star pour redorer le blason de son entreprise en perte de vitesse. Brad laisse Sébastian prendre la place de Holly, jusqu'alors trapéziste vedette et amoureuse de Brad, sur la piste centrale...

Un petit extrait :


Image hébergée par servimg.comSous le plus grand chapiteau du monde (Etats-Unis, 1952) de Cecil B. DeMille avec Charlton Heston, Betty Hutton, Cornel Wilde, James Stewart, Dorothy Lamour, Gloria Grahame, Lawrence Tierney...

lundi 25 avril 2011

Vivien Leigh


Elle m'a toujours fait rêver. Elle a toujours été ma préférée depuis que je l'ai rencontrée au détours de ma première vision d'Autant en emporte le vent. J'ai découvert une actrice prodigieuse, à l'époustouflante beauté. J'ai aussi découvert sa déchirante personnalité. J'admire Vivien Leigh pour toutes ces raisons. Elle me touche plus qu'aucune autre.

Née Vivian Mary Hartley en 1913 (ou 1911) en Inde, elle fait ses débuts sur scène à l'âge de 3 ans en récitant pour le groupe de théâtre amateur de sa mère. A 6 ans, elle désire déjà être une "grande actrice".

Elle se marie en 1932 avec Herbert Leigh Holman, de qui elle a une fille l'année suivante. Elle démarre sa carrière au théâtre. The Mask ou Virtue lui apporte la reconnaissance. En 1935, elle débute au cinéma avec des films comme The Village Squire, Things are Looking Up et Look Up and Laugh.

En 1937, elle tombe amoureuse de son partenaire de L'Invicible Armada, Laurence Olivier. Ils débutent une liaison alors qu'ils sont tous les deux mariés de leur côté.

À cette période, Vivien Leigh lit Autant en emporte le Vent de Margaret Mitchell. Elle demande à son agent américain de souffler son nom à David O'Selznick, qui en prépare l'adaptation. Elle le fit remarquer à un journaliste, "Je me suis moi-même choisie pour être Scarlett O'Hara"...

Vivien joue ensuite le rôle d'Ophélie dans l'adaptation d'Hamlet par Olivier dans une production londonienne. C'est durant cette session que l'acteur découvre ses brusques changements d'humeur alors qu'elle se préparait à entrer sur scène. Sans raison apparente, elle commença à lui crier au visage, avant de plonger dans le silence, le regard vide. Elle joua ensuite parfaitement son rôle et avait oublié l'incident le jour suivant. Ils commencèrent à vivre ensemble, sans obtenir ni l'un ni l'autre le divorce de leurs conjoints.

Peu à peu, sa carrière prend forme au cinéma mais Vivien est perçue dès lors comme une actrice difficile et incontrôlable.

En 1938, Olivier part pour les États-Unis tourner Les Hauts de Hurlevent de William Wyler, adapté du roman d'Emily Brontë. Pendant ce temps, Vivien est secrètement sélectionnée par David O'Selznick -qui vient de la voir dans A Yank at Oxford- pour interpréter Scarlett O'Hara. Jusqu'au dernier moment, Selznick garde le secret. Paulette Godard voit le rôle lui passer sous le nez après des mois et des mois d'essais où tout laissait à penser qu'elle serait l'heureuse élue...

En 1940, Vivien divorce de Holman et épouse Olivier. Elle obtient cette même année son premier Oscar de la meilleur actrice pour le rôle de Scarlett.

En 1944, on diagnostique à Vivien la tuberculose.

Elle continue pourtant sa carrière, notamment avec César et Cléopâtre en 1946 et Anna Karenine en 1948.
En 1952, elle remporte son second Oscar pour Un Tramway nommé Désir d'Elia Kazan.

Au début des années 1960, Vivien souffrit de deux fausses couches et la gravité de sa maladie l'invalida. Elle fut aussi tourmentée par une maladie maniaco-dépressive, laquelle était vue comme un facteur d'échec pour soigner sa maladie.

Le 2 décembre 1960, Olivier et elle divorcèrent à cause d'une infidélité d'Olivier avec l'actrice Joan Plowright, qu'il épousa ensuite. Vivien continua à garder une photo de lui sur sa table de chevet, bien qu'elle vécût désormais avec un nouveau compagnon, Jack Merivale.

Vivien succomba à une tuberculose chronique en 1967. Elle possède une étoile au Hollywood Walk of Fame.

samedi 23 avril 2011

Opening

J'ai trouvé sur Internet des classements des "meilleurs" génériques télé. Perso, je trouve ces classements ultra perso et avec encore et toujours celui de Dexter dans les premières places (ce qui m'agace prodigieusement...).

Bref, sans prétendre à aucun classement, juste pour le plaisir, voici quelques uns de ceux que j'aime revoir et réécouter (associé bien sûr au plaisir que j'ai eu à regarder les séries associées), dans le désordre :


Ally McBeal



Les mystères de l'Ouest



Big Love



Quantum Leap (Code Quantum)



That 70's show



Buffy, the vampire slayer

mercredi 20 avril 2011

Merci pour le chocolat

Les Emotifs Anonymes est un film de Jean-Pierre Améris sur les timides, les phobiques de la société, les émotifs.

L'histoire : Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs.
C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.


Le film est cocasse et gentillet. Carré et Poelvoorde parviennent à nous faire rire et à nous émouvoir en un clin d'œil et de manière très subtile. C'est assez court (le film ne dure qu'1h15) et on reste avec l'impression qu'il manque un peu de profondeur à tout cela, mais on passe un joli moment avec deux merveilleux acteurs...




Image hébergée par servimg.comLes émotifs anonymes de Jean-Pierre Améris (France, 2010) avec Isabelle Carré, Benoît Poelvoorde, Lorella Cravotta, Lise Lametri...

mardi 19 avril 2011

Retour au Vietnam

Tigerland est un film réalisé par Joel Schumacher en 2000. Il a révélé Colin Farrell. Le film n'est pas comparable à Full Metal Jacket de Kubrick, bien sûr, mais il est efficace et solide. Film étonnant dans la carrière d'un réalisateur plutôt faiseur que auteur. Intéressant et émouvant.

En 1971, à Fort Polk, dans un camp d'entraînement de la Louisiane profonde, les futurs soldats s'entraînent avant leur départ au combat sur le sol vietnamien. À cet endroit, les nouvelles recrues doivent oublier leur humanité et leurs émotions pour se préparer à affronter les pires atrocités.Le deuxième classe Jim Paxton est un idéaliste qui rêve de devenir écrivain, Miter veut prouver qu'il est un homme, tandis que Wilson affiche un enthousiasme certain à l'idée de monter à l'assaut.Mais l'arrivée d'un jeune Texan se prénommant Roland Bozz va bousculer les habitudes de la Compagnie.



Image hébergée par servimg.comTigerland (Etats-Unis, 2000) de Joel Schumacher avec Colin Farrell, Matthew Davis, Clifton Collins jr., Nick Searcy...

lundi 18 avril 2011

Be kind rewind

J'ai revu il y a peu Le Village de M. Night Shyamalan et je dois dire que j'ai davantage apprécié que lors de sa sortie salles. Le film date de 2003 et raconte la vie d'une petite communauté isolée. Celle ci vit dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons, et encore moins pénétrer dans les bois... Le jeune Lucius Hunt, un garçon entêté, est cependant bien décidé à aller voir ce qui se cache par-delà des limites du village, et son audace menace de changer à jamais l'avenir de tous...

 
Dans les rôles principaux, on retrouve Joaquin Phoenix (que Shyamalan a ensuite à  nouveau dirigé dans Signes), Bryce Dallas Howard (mignonette qu'il a aussi re-dirigé dans son flop La Jeune fille de l'eau), Adrien Brody, le grand William Hurt et la formidable Sigourney Weaver.


Le film nous fait sursauter au moindre bruit et déroule une intrigue complexe et à plusieurs niveaux, vraiment très intéressante : l'Amérique, son puritanisme, ses démons... Bryce Dallas Howard est une merveilleuse héroïne qui prend petit à petit son envol au fur et à mesure que le récit avance. Un film parfait.



Image hébergée par servimg.comLe Village (Etats-Unis, 2003) de M. Night Shyamalan avec Bryce Dallas Howard, Joaquin Phoenix, William Hurt, Adrien Brody, Sigourney Weaver, Brendan Gleeson...


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Et on revient aussi sur Scream de Wes Craven, plus ancien celui ci, vu aussi en salles lors de sa sortie en 1996. Au générique, Neve Campbell, Courteney Cox et David Arquette.

L'histoire : Sidney, 17 ans, lycéenne à Woodsboro, apprend un matin les horribles meurtres d'une camarade de classe et du petit ami de celle-ci. Il y a 1 an, c'est la propre mère de Sidney qui était retrouvée sauvagement assassinée. Elle même menacée, Sidney ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ?


Scream reste sans doute l'un des meilleurs films du genre. A la fois extrêmement efficace et parodique, donc au suspense insoutenable et plein d'humour. Wes Craven s'est emparé des codes du genre pour mieux les renouveler. Son film est une œuvre culte et qui n'a pas pris une ride en 15 ans !






Image hébergée par servimg.comScream (Etats-Unis, 1996) de Wes Craven avec Neve Campbell, Courteney Cox, David Arquette, Drew Barrymore, Rose McGowan, Matthew Lillard, Skeet Ulrich, Jamie Kennedy, Liev Schreiber...

vendredi 15 avril 2011

Pixar

Un post intéressant et amusant sur les clins d'oeil de Pixar à Pixar sur le blog de momes.net (cliquez sur l'image) :

jeudi 14 avril 2011

Pretty boy



J'ai regardé le film de Eric Lartigau, Prête moi ta main, uniquement pour Alain Chabat, qui est toujours excellent. Face à lui, Charlotte Gainsbourg est drôle et émouvante, et se taille la part du lion côté répliques ! Marrant, sympa, léger et efficace. Un bon moment.


L'histoire : La vie est facile pour Luis, 43 ans, célibataire heureux, épanoui dans son métier, aimé, choyé, couvé par sa mère et ses cinq soeurs. Cela aurait pu durer toute une vie, mais voilà...
Lassées de le materner, celles-ci décident qu'il est temps pour lui de se marier. Le plus vite possible ! Cerné par sa famille qui ne pense plus qu'à ça, il élabore un plan : trouver la femme parfaite qui va se faire passer pour sa fiancée et qui va lâchement l'abandonner le jour du mariage. Après ça, plus personne n'osera même prononcer le mot mariage devant lui. Mais comment trouver cette perle rare ? Luis ne voit qu'une solution : la louer !
Et justement, Emma, la soeur de son meilleur ami et collègue, vient d'arriver à Paris et cherche du travail. Ça y est, le plan est en route. Au bout, la liberté pour Luis. Les plans, c'est bien sur le papier. Mais dans la vie, ça peut s'emballer...


Image hébergée par servimg.comPrête moi ta main de Eric Lartigau (France, 2006) avec Alain Chabat, Charlotte Gainsbourg, Wladimir Yordanoff, Bernadette Lafont, Aïssa Maïga...

La Route

En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien.
Pour ces hommes venus de tous les horizons, s’échapper de cet enfer ne sera que le début de l’aventure…
Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l’Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine.
Certains s’arrêteront en chemin, d’autres ne survivront pas aux épreuves. L’Inde - alors sous contrôle anglais - est le but ultime.
Mais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets…


Un beau sujet : la liberté. Des paysages grandioses, de grands acteurs, un bel hommage à ces hommes. Après, le film est très classique dans sa forme. Il manque de tension, de souffle, d'émotion et les personnages sont peu fouillés. C'est louable mais c'est tout.




Image hébergée par servimg.comLes Chemins de la Liberté (The Way Back) -Etats-Unis, 2010- de Peter Weir avec Jim Sturgess, Ed Harris, Saoirse Ronan, Colin Farrell... 

jeudi 7 avril 2011

Passage à Londres

Belle affiche pour le film de William Monahan (scénariste dont c'est le premier long métrage), London Boulevard : Colin Farrell (j'adore !), Keira Knightley (j'aime beaucoup), le délicieux couple David Thewlis-Anna Friel, Ben Chaplin et Ray Winstone.


L'histoire est celle de Mitchel (Farrell), qui sort de prison et retrouve son vieil ami Billy (Chaplin), petit voyou à la recherche d'un complice. Mitchel accepte de l'aider en l'échange d'un toit. Incapable de rompre avec son passé, il fait la connaissance de Charlotte (Knightley), une star de cinéma terrée dans un luxueux hôtel particulier pour échapper aux hordes de paparazzi. Sensible à la vulnérabilité de la séduisante jeune femme, Mitchel devient rapidement son garde personnel...

Bon. Le casting est top, c'est clair. Après, le scénario n'est pas follement original et la mise en scène est un peu bancale. Et les personnages manquent d'épaisseur. On sent que le réalisateur a recherché un style mais qu'il n'est pas parvenu à concrétiser quelque chose de bien d'aplomb. Reste le délice de croiser ces merveilleux acteurs dans le même film...



Image hébergée par servimg.comLondon Boulevard (Angleterre-2010) avec Colin Farrell, Keira Knightley, David Thewlis, Anna Friel, Ray Winstone, Ben Chaplin...

mercredi 6 avril 2011

Hommage au ciné

Le designer suédois Viktor Hertz montre tout son amour pour le cinéma et les pictogrammes avec cette séries d’affiches de films. Volontairement minimalistes, ces affiches et visuels apportent une touche intéressante et permettent de résumer le film en quelques pictogrammes.

Amélie et le Japon

J'ai beaucoup apprécié l'adaptation par Alain Corneau de Stupeur et Tremblements d'Amélie Nothomb. Très drôle, une Sylvie Testud formidable et un grand respect du roman et de l'esprit d'Amélie Nothomb. J'aime beaucoup Nothomb et ses livres mais je m'étais retenue de voir le film jusqu'ici, ne sachant pas trop comment on avait pu réussir à adapter l'une de ses œuvres. Et bien j'ai trouvé le film excellent !

L'histoire : Amélie, une jeune femme belge, vient de terminer ses études universitaires. Sa connaissance parfaite du japonais, langue qu'elle maîtrise pour y avoir vécu étant plus jeune, lui permet de décrocher un contrat d'un an dans une prestigieuse entreprise de l'empire du soleil levant, la compagnie Yumimoto. Fascinée par la hiérarchie d'entreprise japonaise, précise et méthodique, la jeune femme l'est d'autant plus par sa supérieure directe, l'intrigante et fière Mademoiselle Mori.
Pourtant, Amélie va rapidement déchanter à la découverte d'une culture qu'elle ne connaît absolument pas...




Image hébergée par servimg.comStupeur et Tremblements (France, 2002) d'Alain Corneau avec Sylvie Testud, Kaori Tsuji, Taro Suwa, Bison Katayama, Yasunari Kondo...

samedi 2 avril 2011

The bouse of the year

J'ai pu voir l'un des pires films de toute ma vie. De la première seconde à la toute dernière, tout est extraordinairement risible. Il s'agit du nouveau navet de Catherine Hardwicke, la pitoyable réalisatrice (en même temps, c'est un bien grand mot la concernant !) de Twilight. C'est une variation sur le thème du Petit Chaperon Rouge et s'intitule Le Chaperon Rouge.

Dans cette histoire, Valerie vit au cœur d'un village menacé par un loup tueur, un loup garou pour être précise. Alors qu'un évangéliste chasseur de loup garou arrive au village, Valerie se retrouve prise entre son amour pour son ami d'enfance, le garçon qui veut l'épouser et le loup...

Après les vampires, les loups garous ! Hardwicke a du se dire qu'elle n'avait pas fait assez de mal comme ça au genre. Faut avoir 12 ans pour apprécier ça. Et encore ! Le film se veut moderne mais il n'est qu'un long clip indigeste aux dialogues mièvres et ridicules. Le côté stylistique du film est insupportable et le scénario est carrément débile. Mais que vient faire Gary Oldman dans cette bouse ! Quel navet !!!





Image hébergée par servimg.comLe Chaperon Rouge (Etats-Unis, 2011) avec Amanda Seyfried, Gary Oldman, Virginia Madsen, Julie Christie, Billy Burke...

Madame

1562, la France est sous le règne de Charles IX, les guerres de religion font rage…
Depuis son plus jeune âge, Marie de Mézières aime Henri, Duc de Guise. Elle est contrainte par son père d’épouser le Prince de Montpensier. Son mari, appelé par Charles IX à rejoindre les princes dans leur guerre contre les protestants, la laisse en compagnie de son précepteur, le Comte de Chabannes, loin du monde, au château de Champigny.
Elle tente en vain d’y oublier sa passion pour Guise, mais devient malgré elle l’enjeu de passions rivales et violentes auxquelles vient aussi se mêler le Duc d’Anjou, futur Henri III...


Le résumé ci dessus est bien sûr celui de La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier. Joli film, moderne et autrement plus intéressant que l'indigeste Reine Margot de Chéreau. C'est enlevé, emmené par une distribution jeune et dynamique et c'est ma fois bien agréable. Ma palme à Monsieur Wilson.





Image hébergée par servimg.comLa Princesse de Montpensier (France, 2010) de Bertrand Tavernier avec Mélanie Thierry, Lambert Wilson, Grégoire Leprince-Ringuet, Raphaël Personnaz, Gaspard Ulliel...