lundi 28 juin 2010
A couper le souffle !
Vu (enfin) Le Prestige de Christopher Nolan avec Hugh Jackman et Christian Bale...
Ma foi... C'est, en gros, un chef d'œuvre !
Un film bluffant de bout en bout avec deux acteurs qui se volent mutuellement la vedette, comme leurs personnages. Un final incroyable. Christopher Nolan est vraiment un auteur-réalisateur remarquable ! Un suspense éclatant et un brillant tour de passe-passe !
Résumé : Londres, au début du 19e siècle. Robert Angier (Jackman) et Alfred Borden (Bale) sont deux magiciens surdoués, promis dès leur plus jeune âge à un glorieux avenir. Une compétition amicale les oppose d'abord l'un à l'autre, mais l'émulation tourne vite à la jalousie, puis à la haine. Devenus de farouches ennemis, les deux rivaux vont s'efforcer de se détruire l'un l'autre en usant des plus noirs secrets de leur art. Cette obsession aura pour leur entourage des conséquences dramatiques...
Le Prestige (The Prestige) de Christopher Nolan (Etats-Unis, 2006) avec Hugh Jackman, Christian Bale, Michael Caine, Scarlett Johansson, Rebecca Hall, Andy Serkis et David Bowie.
Libellés :
*****,
Christian Bale,
Christopher Nolan,
Cinéma,
Film,
Hugh Jackman,
Scarlett Johansson,
Suspense
samedi 26 juin 2010
Jane, Jane, Jane
Regardé The Jane Austen Book Club hier soir.
Un film léger et sympathique, qui emprunte plus aux comédies romantiques américaines qu'au génie de la grande Jane. Un plaisir de revoir Maggie Grace (la Shannon de Lost) et Emily Blunt (la belle Anglaise qui monte)...
L'histoire : Bernadette, une quinquagénaire six fois divorcée, a l'idée de fonder un club de lecture quand elle rencontre Prudie, une jeune enseignante de français très élégante et mariée, lors d'un festival de cinéma sur Jane Austen. Le concept est que chacun des six membres accueille à tour de rôle le groupe une fois par mois, pour discuter entre eux des six romans d'Austen. Les autres membres du club sont Sylvia, une femme au foyer quadragénaire récemment séparée de son mari, sa fille lesbienne de 20 ans Allegra ; Jocelyn, une célibataire heureuse de l'être, qui est amie avec Sylvia depuis l'enfance ; et Grigg, un fan de science-fiction que Jocelyn a invité à les rejoindre dans l'espoir que Sylvia et lui formeront un couple assorti...
Libellés :
***,
Cinéma,
Comédie,
Film,
Jane Austen,
Maggie Grace
jeudi 24 juin 2010
Théâtre anglais
Joyeuses Funérailles (Death at a Funeral) est une bonne comédie noire à l'anglaise (et anglaise de surcroit). Avec le beau Matthew Mac Fadyen (le Darcy de Pride and Prejudice 2006).
Des chassés-croisés improbables et des gags parfois très drôles (parfois aussi un peu lourds). Au final, l'ensemble, divertissant, manque toutefois d'émotion et reste un tantinet statique, avec une mise en scène sans grand éclat, qui relève davantage de la pièce de théâtre que du film...
A noter qu'un remake vient d'être réalisé. La même chose mais à l'américaine, et avec uniquement des acteurs afro américains. Sans grand intérêt à priori...
Résumé : Le jour des funérailles du patriarche, famille et amis arrivent chacun avec leur dose de problèmes. Daniel, le fils, va revoir son frère rival Robert, célèbre romancier parti vivre aux États-Unis. Martha, la cousine, veut à tout prix faire accepter à son père vieux-jeu son nouveau fiancé qui a accidentellement avalé une pilule hallucinogène...
Mais les vraies complications commencent lorsqu'un invité mystérieux, menace de dévoiler un terrible secret de famille... Daniel et sa joyeuse bande vont user de tous les moyens pour enterrer le père... et ses confidences.
Joyeuses Funérailles de Frank Oz (Grande-Bretagne/USA, 2007) avec Matthew MacFadyen, Rupert Graves, Alan Tudyk, Daisy Donovan, Andy Nyman, Ewen Bremner...
Des chassés-croisés improbables et des gags parfois très drôles (parfois aussi un peu lourds). Au final, l'ensemble, divertissant, manque toutefois d'émotion et reste un tantinet statique, avec une mise en scène sans grand éclat, qui relève davantage de la pièce de théâtre que du film...
A noter qu'un remake vient d'être réalisé. La même chose mais à l'américaine, et avec uniquement des acteurs afro américains. Sans grand intérêt à priori...
Résumé : Le jour des funérailles du patriarche, famille et amis arrivent chacun avec leur dose de problèmes. Daniel, le fils, va revoir son frère rival Robert, célèbre romancier parti vivre aux États-Unis. Martha, la cousine, veut à tout prix faire accepter à son père vieux-jeu son nouveau fiancé qui a accidentellement avalé une pilule hallucinogène...
Mais les vraies complications commencent lorsqu'un invité mystérieux, menace de dévoiler un terrible secret de famille... Daniel et sa joyeuse bande vont user de tous les moyens pour enterrer le père... et ses confidences.
Joyeuses Funérailles de Frank Oz (Grande-Bretagne/USA, 2007) avec Matthew MacFadyen, Rupert Graves, Alan Tudyk, Daisy Donovan, Andy Nyman, Ewen Bremner...
Libellés :
***,
Cinéma,
Comédie,
Film,
Matthew MacFadyen
mercredi 23 juin 2010
mardi 22 juin 2010
Emma
J'ai regardé Last Chance for Love (Last Chance Harvey) de Joel Hopkins avec Dustin Hoffman et Emma Thompson.
Ces deux prodigieux acteurs (le qualificatif "prodigieux" n'est pas suffisant pour rendre justice à ces admirables comédiens) illuminent une histoire d'amour douce amère conventionnelle. A voir pour ses interprètes, particulièrement émouvants...
L'histoire : Alors qu'il passe quelques jours à Londres pour assister au mariage de sa fille, Harvey, un Américain d'une soixantaine d'années, divorcé, rejeté par sa famille et malchanceux dans le travail rencontre par hasard Kate, une Londonienne tout aussi seule que lui, qui pour de son côté subit la tyrannie de sa mère. Ils feront un bout de chemin ensemble et plus si affinités...
Last Chance for Love (Etats-Unis, 2009) de Joel Hopkins avec Dustin Hoffman, Emma Thompson, Eileen Atkins, Kathy Baker, James Brolin...
Ces deux prodigieux acteurs (le qualificatif "prodigieux" n'est pas suffisant pour rendre justice à ces admirables comédiens) illuminent une histoire d'amour douce amère conventionnelle. A voir pour ses interprètes, particulièrement émouvants...
L'histoire : Alors qu'il passe quelques jours à Londres pour assister au mariage de sa fille, Harvey, un Américain d'une soixantaine d'années, divorcé, rejeté par sa famille et malchanceux dans le travail rencontre par hasard Kate, une Londonienne tout aussi seule que lui, qui pour de son côté subit la tyrannie de sa mère. Ils feront un bout de chemin ensemble et plus si affinités...
Last Chance for Love (Etats-Unis, 2009) de Joel Hopkins avec Dustin Hoffman, Emma Thompson, Eileen Atkins, Kathy Baker, James Brolin...
Libellés :
***,
Cinéma,
Comédie dramatique,
Dustin Hoffman,
Emma Thompson,
Film
dimanche 20 juin 2010
Brumeux
J'ai regardé et pas aimé Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier...
Le genre d'histoire qui me gonfle, le genre d'ambiance qui me gonfle.
Et on dirait que Tavernier a fait un copié-collé du style de Clint Eastwood.
J'ai regardé la fin en zigzag et j'ai rien compris...
L'histoire : New Iberia, Louisiane. Le détective Dave Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de très jeunes femmes. De retour chez lui après une investigation sur la scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d'Elrod Sykes. La grande star hollywoodienne est venue en Louisiane tourner un film, produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet Balboni. Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave. Mais à mesure que Dave se rapproche du meurtrier, ce dernier se rapproche de la famille de Dave...
Dans la brume électrique (Etats-Unis, 2009) de Bertrand Tavernier avec Tommy Lee Jones, Peter Sarsgaard, John Goodman, Mary Steenburgen, Kelly McDonald...
Le genre d'histoire qui me gonfle, le genre d'ambiance qui me gonfle.
Et on dirait que Tavernier a fait un copié-collé du style de Clint Eastwood.
J'ai regardé la fin en zigzag et j'ai rien compris...
L'histoire : New Iberia, Louisiane. Le détective Dave Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de très jeunes femmes. De retour chez lui après une investigation sur la scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d'Elrod Sykes. La grande star hollywoodienne est venue en Louisiane tourner un film, produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet Balboni. Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave. Mais à mesure que Dave se rapproche du meurtrier, ce dernier se rapproche de la famille de Dave...
Dans la brume électrique (Etats-Unis, 2009) de Bertrand Tavernier avec Tommy Lee Jones, Peter Sarsgaard, John Goodman, Mary Steenburgen, Kelly McDonald...
Libellés :
*,
Bertrand Tavernier,
Cinéma,
Film,
Film policier,
Tommy Lee Jones
Un dernier hommage à Lost
Source : LeTemps.ch
Par Nicolas Dufour
La série fantastique, qui s’achève ce samedi 19 juin sur TSR1, aura collé à son époque tout en y résistant. Dernier salut à une œuvre laboratoire, qui aura chamboulé la fiction TV.
«La crainte du danger est mille fois plus terrifiante que le danger présent»: Daniel Defoe l’écrivait dans Robinson Crusoé, lointain fondement de Lost. Le raisonnement peut s’appliquer aux amateurs du feuilleton populaire le plus déroutant de la décennie. Ce samedi soir, TSR1 achève sa diffusion, au terme de six saisons. De toute évidence, les craintes et les espoirs des fidèles se révéleront mille fois plus terrifiants que ce final réel.
On entendra de la déception, des discussions enflammées entre experts, voire des ricanements. La tonalité mystico-ésotérique, présente depuis le début, mais qui s’accroît depuis la cinquième saison et semble culminer dans le dernier chapitre, a certes poussé à des répliques baroques, voire risibles – exemple avec Hurley, épisode 6X5: «Si ça se trouve, ces squelettes, c’est nous.»
Mais comment ne pas applaudir une dernière fois? Et s’il devait y avoir frustration, balayera-t-on d’un revers de main ces six étés de télé? Certainement pas. Car ces années auront changé la fiction TV. J’ai souvent plaidé ici pour cette série, arguant qu’elle a atteint le cœur du principe du feuilleton. Par son foisonnement narratif, sa pagaille même, sa manière d’ajouter des couches à ce qui semblait déjà complexe, l’odyssée des naufragés de l’Oceanic 815, et des autres, a propulsé le rendez-vous télévisuel à un autre niveau. A une autre dimension.
Si Lost a suscité de telles cogitations chez ses aficionados, c’est parce qu’elle a instauré, restauré plutôt, un rôle classique pour ses auteurs. Démiurges et vendeurs de salades à la fois. Bateleurs assurant de leur contrôle absolu sur leur histoire, aguichant les badauds. Mais aussi manipulateurs de génie, sourds aux demandes ou aux suggestions de leurs paroissiens. A l’heure du Web 2.0, le feuilleton aura enflammé Facebook ou Twitter, tout en restant en marge, cloisonné dans son univers.
Pourtant, la modernité expérimentale de la narration aura collé à son époque. Lost, ce furent 121 épisodes d’écriture hypertexte. Une fable conjecturale, labyrinthique, peut-être sans morale. Une toile tissée dans chaque épisode, jusqu’au souffle noir du logo «Lost» précédant le générique. Une allégorie de masse, investissant tous les canaux à partir du téléviseur. Conçue en phase avec son temps de réseaux et de complots. Y compris dans l’habileté marketing, les indices disséminés sur Internet, la pléthore de bonus en DVD… Et ce, au-delà de la diffusion: l’édition intégrale, prévue pour la fin de l’année, comporterait ainsi un épilogue inédit. Evidemment…
Si la messe n’est pas pleinement dite, faudra-t-il s’en plaindre? A sa manière, parfois d’une stimulante naïveté, Lost a abordé des thématiques d’une permanence absolue, la mort, la famille, la reconstruction d’une société après l’hécatombe, l’identité et le temps…
On ne règle pas ces questions-là. On n’achève pas Lost.
Et pour les amateurs, de toute manière, c’est certain: chacun, à notre manière, nous retournerons sur l’île.
samedi 19 juin 2010
jeudi 17 juin 2010
Cinderella
Hier soir, j'ai zyeuté A Tout Jamais (Ever After, a Cinderella Story) de Andy Tennant avec Drew Barrymore, Anjelica Huston et Dougray Scott. Bon, c'est pas une nouveauté car le film date de 1998, mais je ne l'avais jamais vu et c'est le genre de films qui me met de bonne humeur. Et c'était bien agréable ! Léger, charmant et sucré...
Résumé : Adaptation moderne de la célèbre légende de Cendrillon qui connaît dans le monde prés de 500 versions (la première serait d'origine chinoise et liée à la passion bien connue de ce peuple pour les petits pieds). Dans cette version, Danielle, l'héroïne, n'a rien d'une victime et décide de son propre chef de rester dans la maison paternelle après la disparition de son père, entre sa maratre Rodmilla et ses deux sœurs, l'horrible Marguerite et la douce Jacqueline. Cette Cendrillon est belle, libre et surtout éminemment spirituelle et cultivée. Elle saura séduire le futur héritier du trône de France...
A Tout Jamais (Ever After) de Andy Tennant (Etats-Unis, 1998) avec Drew Barrymore, Anjelica Huston, Dougray Scott, Melanie Lynskey, Judy Parfitt, Jeroen Krabbé, Patrick Godfrey, Megan Dodds et Jeanne Moreau.
Libellés :
****,
Anjelica Huston,
Cinéma,
Comédie,
Drew Barrymore,
Film
Dharma etc.
Parce qu'il y a toujours des trucs à dire et à dénicher sur Lost...
Voici une carte très complète de l'île en image !
Pour ceux qui n'en ont rien à secouer, c'est quand même joli à regarder une carte, non ? Non ? Moi, j'aime bien...
Cliquez pour agrandir of course...
Voici une carte très complète de l'île en image !
Pour ceux qui n'en ont rien à secouer, c'est quand même joli à regarder une carte, non ? Non ? Moi, j'aime bien...
Cliquez pour agrandir of course...
mercredi 16 juin 2010
Rise again
J'ai vu le Robin des Bois de Ridley Scott hier, avec Russell Crowe et Cate Blanchett (je veux dire que tous les deux jouent dans le film, je veux pas dire qu'ils étaient avec moi quand je l'ai regardé, hein). Une version très mature du mythe (nettement plus que la version des 2 Kevin -Reynolds et Costner), superbe et épique.
Robin est un homme du peuple et ne ressemble en rien à ses prédécesseurs (Errol Flynn, ses collants verts et son arrogance, Kevin Costner et son Robin pop-corn...).
Ici, Russell Crowe incarne un Robin modeste, sobre et délicat, assez éloigné de son Maximus (dans le Gladiator du même réalisateur). Et le couple qu'il forme avec la merveilleuse Cate Blanchett est tout simplement magique. Cette dernière interprète magistralement une Marianne fougueuse et lumineuse. Ses scènes avec Russell Crowe sont magnétiques. Deux acteurs en état de grâce...
La mise en scène de Ridley Scott est efficace et somptueuse. Le cinéaste revisite et dépoussière le mythe pour l'inscrire dans un contexte plus réaliste que les réalisations précédentes sur le héros de Nottigham. Une aventure médiévale dense et émouvante...
Le résumé : Où comment Robin devint Robin des Bois...
Bientôt le 13e siècle, Robin Longstride, humble archer au service de la Couronne d’Angleterre, assiste, en Normandie, à la mort de son monarque, Richard Coeur de Lion, venu défendre son royaume contre les Français.
De retour en Angleterre et alors que le prince Jean, frère cadet de Richard et aussi inepte à gouverner qu’obnubilé par son enrichissement personnel, prend possession du trône, Robin se rend à Nottingham où il prend l'identité d'un gentilhomme tombé au combat, avec la bénédiction du père de ce dernier. Il trouve une alliée en la personne de la veuve de celui qu'il incarne désormais, la belle et impétueuse Lady Marianne...
Robin des Bois (Robin Hood) de Ridley Scott (2010-États Unis)
avec Russell Crowe, Cate Blanchett, Max Von Sydow, Mark Strong, William Hurt, Mark Addy, Matthew Mac Fadyen, Eileen Atkins, Danny Huston, Oscar Isaac, Kevin Durand, Scott Grimes, Léa Seydoux...
Libellés :
****,
Cate Blanchett,
Cinéma,
Film,
Film d'action,
Film d'aventure,
Ridley Scott,
Russell Crowe
lundi 14 juin 2010
Comédie 4 étoiles
J'ai passé un super bon moment en regardant le film de Todd Phillips, The Hangover (Very Bad Trip en français : qu'on m'explique pourquoi les gens concernés traduisent un titre anglophone par un autre titre anglophone ?!?)
Franchement, ça faisait hyper hyper longtemps que je n'avais pas rigolé comme ça devant un film ! Cette virée hilarante m'a éclatée. Excellent et absurde, avec 3 acteurs formidables (Cooper-Helms-Galifianakis : je ne connaissais que Cooper, qui était l'un des potes de Sydney dans Alias). Pourtant, je l'avais évité longtemps, échaudée par le bruit autour du succès du film...
L'histoire : Au réveil d'un enterrement de vie de garçon bien arrosé, les trois amis du fiancé se rendent compte qu'il a disparu 40 heures avant la cérémonie de mariage. Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s'est passé...
Juste en note : The Hangover m'a aussi fait penser au superbe film (méconnu) de Kevin Reynolds avec Kevin Costner, Fandango (Une Bringue d'Enfer en français : encore une traduction à la con) qui date de 1985 et qui raconte la virée de 5 potes avant le mariage de l'un d'entre eux et son départ prochain pour la guerre du Vietnam... A voir si vous avez l'occasion : c'est drôle et profond à la fois : le meilleur film de son réalisateur et l'un des meilleurs de son acteur principal...
Very Bad Trip (The Hangover) de Todd Phillips (2009) avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis, Heather Graham, Justin Bartha...
Une Bringue d'Enfer (Fandango) de Kevin Reynolds (1985) avec Kevin Costner, Judd Nelson, Sam Robards, Chuck Bush, Brian Cesak...
Franchement, ça faisait hyper hyper longtemps que je n'avais pas rigolé comme ça devant un film ! Cette virée hilarante m'a éclatée. Excellent et absurde, avec 3 acteurs formidables (Cooper-Helms-Galifianakis : je ne connaissais que Cooper, qui était l'un des potes de Sydney dans Alias). Pourtant, je l'avais évité longtemps, échaudée par le bruit autour du succès du film...
L'histoire : Au réveil d'un enterrement de vie de garçon bien arrosé, les trois amis du fiancé se rendent compte qu'il a disparu 40 heures avant la cérémonie de mariage. Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s'est passé...
Juste en note : The Hangover m'a aussi fait penser au superbe film (méconnu) de Kevin Reynolds avec Kevin Costner, Fandango (Une Bringue d'Enfer en français : encore une traduction à la con) qui date de 1985 et qui raconte la virée de 5 potes avant le mariage de l'un d'entre eux et son départ prochain pour la guerre du Vietnam... A voir si vous avez l'occasion : c'est drôle et profond à la fois : le meilleur film de son réalisateur et l'un des meilleurs de son acteur principal...
Very Bad Trip (The Hangover) de Todd Phillips (2009) avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis, Heather Graham, Justin Bartha...
Une Bringue d'Enfer (Fandango) de Kevin Reynolds (1985) avec Kevin Costner, Judd Nelson, Sam Robards, Chuck Bush, Brian Cesak...
samedi 12 juin 2010
Règlements de compte
J'ai regardé 3:10 to Yuma de James Mangold, avec Russell Crowe et Christian Bale.
C'était pas mal du tout. Il y a certaines scènes qui sont assez formidables, comme à la fin, la fuite des deux personnages principaux vers le train...
Un bon western, même si le film ne révolutionne pas le genre et si on on n'est pas fana des hommes en chapeau de cowboy...
Bon, ça vaut aussi beaucoup pour Russell (bah oui, quand même !!!) et Christian (dont la personnalité m'irrite un chouilla) qui sont de sacrés bons comédiens. Ne crachons pas dans la soupe. Et puis j'ai bien aimé Ben Foster (que je ne connaissais pas) qui joue Charlie...
Sinon, pour les filles, un avertissement : c'est bien un film de mecs.
Le résumé : Revenu blessé de la guerre de Sécession, Dan Evans a établi sa famille dans un ranch. La sécheresse a ravagé ses terres, décimé son troupeau et miné la considération que lui portent sa femme et ses enfants, en particulier son aîné Will, âgé de 14 ans. A la suite d'une attaque de diligence, le célèbre bandit Ben Wade passe par la ville de Bisbee où il est arrêté avec le concours fortuit de Evans. Wade doit être convoyé vers Contention, à trois jours de cheval, pour embarquer sur un train à destination de Yuma, où se trouve le tribunal fédéral. Contre une prime qui peut sauver son ranch, Dan s'engage dans l'escorte qui doit accompagner le dangereux criminel. Il est bientôt rejoint par son fils Will, fasciné par l'aura du tueur.
Tandis que son gang organise son évasion, Wade engage sur le chemin de Contention un bras de fer psychologique avec ses gardiens, usant à la fois de la peur qu'il leur inspire et de la séduction qu'il exerce sur eux...
3:10 to Yuma de James Mangold (2007) avec Russell Crowe, Christian Bale, Peter Fonda, Ben Foster, Dallas Roberts, Gretchen Mol...
C'était pas mal du tout. Il y a certaines scènes qui sont assez formidables, comme à la fin, la fuite des deux personnages principaux vers le train...
Un bon western, même si le film ne révolutionne pas le genre et si on on n'est pas fana des hommes en chapeau de cowboy...
Bon, ça vaut aussi beaucoup pour Russell (bah oui, quand même !!!) et Christian (dont la personnalité m'irrite un chouilla) qui sont de sacrés bons comédiens. Ne crachons pas dans la soupe. Et puis j'ai bien aimé Ben Foster (que je ne connaissais pas) qui joue Charlie...
Sinon, pour les filles, un avertissement : c'est bien un film de mecs.
Le résumé : Revenu blessé de la guerre de Sécession, Dan Evans a établi sa famille dans un ranch. La sécheresse a ravagé ses terres, décimé son troupeau et miné la considération que lui portent sa femme et ses enfants, en particulier son aîné Will, âgé de 14 ans. A la suite d'une attaque de diligence, le célèbre bandit Ben Wade passe par la ville de Bisbee où il est arrêté avec le concours fortuit de Evans. Wade doit être convoyé vers Contention, à trois jours de cheval, pour embarquer sur un train à destination de Yuma, où se trouve le tribunal fédéral. Contre une prime qui peut sauver son ranch, Dan s'engage dans l'escorte qui doit accompagner le dangereux criminel. Il est bientôt rejoint par son fils Will, fasciné par l'aura du tueur.
Tandis que son gang organise son évasion, Wade engage sur le chemin de Contention un bras de fer psychologique avec ses gardiens, usant à la fois de la peur qu'il leur inspire et de la séduction qu'il exerce sur eux...
3:10 to Yuma de James Mangold (2007) avec Russell Crowe, Christian Bale, Peter Fonda, Ben Foster, Dallas Roberts, Gretchen Mol...
Libellés :
***,
Christian Bale,
Cinéma,
Film,
Russell Crowe,
Western
vendredi 11 juin 2010
jeudi 3 juin 2010
L'Hebdo
Le dernier Hebdo Séries en date (numéro 34, du 3 juin) est entièrement consacré à Lost...
A regarder ici :
Hebdo Séries 34
Le meilleur est à la fin avec Jacob et MIB en pleine séance de psychanalyse...
A regarder ici :
Hebdo Séries 34
Le meilleur est à la fin avec Jacob et MIB en pleine séance de psychanalyse...
mercredi 2 juin 2010
New Orleans
Avec Petite Loutre (et un peu Bébé Suricate), on a regardé La Princesse et la Grenouille. Et bien, on a beaucoup aimé ! Petite Loutre m'a demandé d'avancer les passages où on voit le "méchant" (comme d'hab), mais elle a regardé tout le reste.
Moi qui ne suis pas fan de jazz (l'inverse, même), j'ai beaucoup apprécié l'ambiance New Orleans.
Un très agréable moment...
Le résumé : Un conte qui se déroule à la Nouvelle-Orléans, dans le légendaire quartier français, où vit une jeune fille nommée Tiana.
La Princesse et la Grenouille de Ron Clements et John Musker (Etats Unis, 2009)
Moi qui ne suis pas fan de jazz (l'inverse, même), j'ai beaucoup apprécié l'ambiance New Orleans.
Un très agréable moment...
Le résumé : Un conte qui se déroule à la Nouvelle-Orléans, dans le légendaire quartier français, où vit une jeune fille nommée Tiana.
La Princesse et la Grenouille de Ron Clements et John Musker (Etats Unis, 2009)
Inscription à :
Articles (Atom)