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mercredi 28 mars 2012

Adoption

Pas mal, Les Adoptés de Mélanie Laurent.

L'histoire : Une famille de femmes que la vie a souvent bousculée mais qui est parvenue avec le temps à apprivoiser les tumultes. Les hommes ont peu de place dans cette vie et naturellement quand l'une d'entre elle tombe amoureuse tout vacille. L'équilibre est à redéfinir et tout le monde s'y emploie tant bien que mal. Mais le destin ne les laissera souffler que peu de temps avant d'imposer une autre réalité. La famille devra alors tout réapprendre. La mécanique de l'adoption devra à nouveau se mettre en marche forçant chacun à prendre une nouvelle place... 

Alors, le titre fait référence au fait que l'une des femmes de ce clan est une adoptée. C'est la principale raison pour laquelle j'ai voulu voir le film. Après, j'aime bien Mélanie Laurent, même si ce n'est franchement pas l'actrice du siècle. Ici aussi d'ailleurs, dans son propre film, elle n'est vraiment pas extraordinaire... Le film, lui, est lent, drôle, un peu naïf, un peu maladroit mais attachant au final. Un joli mélodrame...





Image hébergée par servimg.comLes Adoptés (France, 2011) de et avec Mélanie Laurent et Marie Denarnaux, Denis Ménochet, Clémentine Célarié...

samedi 28 janvier 2012

Hollywood

The Artist de Michel Hazanavicius

Faisant abstraction de Cannes, des Golden Globes et des Oscars, c'est un bel hommage à Hollywood et au cinéma muet. Une comédie mélodramatique où résonne un silence délicat. De bons acteurs. Un film sympathique mais pas inoubliable pour moi...

Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour. 



Image hébergée par servimg.com The Artist (France, Etats-Unis, 2011) de Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo, John Goodman, James Cromwell, Missy Pyle, Penelope Ann Miller...

lundi 5 décembre 2011

Absence de gris

La Couleur des Sentiments (The Help), d'après le roman de Kathryn Stockett et réalisé par Tate Taylor a été l'un des succès surprise de l’année aux States.

L'histoire : Dans la petite ville de Jackson, Mississippi, durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement...

J'ai vu le film il y a 2 semaines.

Les actrices sont très bien : Viola Davis, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Octavia Spencer, Emma Stone... Mais l'histoire est tellement déjà vue, et surtout pourquoi traiter encore aujourd'hui un tel sujet de cette manière ?? Pourquoi faut-il encore une fois rajouter un personnage de Blanc sauveur pour raconter la lutte des Noirs pour les droits civiques aux États Unis ?? C'est agaçant !! Je rajouterais que le film ne fait pas dans la nuance, bien sûr et qu'il dégouline de bons sentiments pour changer. Mais bon, ça se laisse regarder...



Image hébergée par servimg.comLa Couleur des Sentiments de Tate Taylor (Etats-Unis, 2011) avec Viola Davis, Octavia Spencer, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Emma Stone, Sissy Spacek, Cicely Tyson, Mary Steenburgen...

mardi 22 novembre 2011

Triptyque moyen

3 films vus récemment qui ne cassent pas trois pattes à un canard :

Ensemble, c'est tout de Claude Berri, d'après Gavalda : vraiment pas terrible, pas très bien interprété, sans éclat et déjà vu et revu...

L'histoire : La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit. Camille fait des ménages le soir dans les bureaux et dessine avec grâce à ses heures perdues. Philibert est un jeune aristocrate féru d'histoire, timide, émotif et solitaire, il occupe un grand appartement que possède sa famille. Franck est cuisinier, viril et tendre, il aime infiniment sa grand-mère, Paulette, une vieille dame fragile et drôle. Leurs doutes, leurs chagrins, c'est ensemble qu'ils vont apprendre à les adoucir, pour avancer, réaliser leurs rêves. Ils vont se découvrir et comprendre qu'ensemble, on est plus fort. 

 

Hop de Tim Hill, un film pour enfants pas terrible ni très drôle et qui ne pourra plaire qu'aux tout petits...

L'histoire : Robbie est le futur Lapin de Pâques, poste qu'occupe son père. Mais Robbie a d'autres rêves et souhaite devenir batteur dans un groupe de Rock. A la veille de la passation de pouvoir, Robbie s’enfuit. Il arrive à Hollywood où il rencontre Fred, un jeune homme qui nourrit de grands rêves qu’il n’a toujours pas réalisés...





Snow Flower and the Secret fan de Wayne Wang, dont je ne connaissais rien mais qui m'a attiré par son affiche. Je sais, je devrais faire plus attention des fois. Bon, le film est assez longuet et on n'arrive pas à trop comprendre le but de tout ça à part peut être celui de nous faire mourir d'ennui. Les actrices ne sont pas très convaincante, l'histoire et la mise en scène encore moins. Pas d'intérêt particulier...

L'histoire : Au XIXème siècle, l'histoire d'une grande amitié entre Lily et Snow Flower dans une société aux codes culturels strictes. Et parallèlement à notre époque, celle de deux jeunes femmes dont l'une se retrouve dans le coma après un grave accident de la circulation...






Image hébergée par servimg.comEnsemble, c'est tout de Claude Berri (France, 2007) avec Audrey Tautou et Guillaume Canet

Image hébergée par servimg.comHop de Tim Hill (Etats-Unis, 2010) avec James Marsden et un lapin

Image hébergée par servimg.comSnow Flower and the Secret fan (Etats-Unis, 2011) avec Bingbing Li, Jeon Ji-huyn et Hugh Jackman

mercredi 3 août 2011

Je t'aime, moi non plus

Last Night est un film de Massy Tadjedin avec Keira Knightley, Sam Worthington, Guillaume Canet et Eva Mendes.

Joanna et Michael vivent à New York. Aucun nuage, aucun doute n’est jamais venu assombrir leur union, jusqu’à ce que chacun d’eux soit tenté, la même nuit…
Pendant que Michael est en déplacement professionnel avec Laura, jeune femme aussi attirante qu’énigmatique, Joanna recroise Alex, l’autre grand amour de sa vie. Les 36 heures qui suivent vont obliger chacun à faire des choix…



Un très joli film, empreint de douceur et de nostalgie. Il m'a fait pensé aux films de Mike Figgis (Pour une nuit, Time Code). Il est joliment mis en scène, dure juste le temps qu'il faut (ce genre de comédie bavarde en huis clos, faut pas que ça dure trop longtemps !) et permet aux comédiens (particulièrement Keira Knightley et Guillaume Canet, l'autre duo Sam Worthington-Eva Mendes est moins intéressant) de réaliser une délicieuse performance. Dans le même style, j'ai décidément largement préféré ça à l'horrible film de James Gray, Two Lovers (insupportable !) ou Closer de Mike Nichols (interminable). Un film fin et délicat.




Last Night de Massy Tadjedin (Etats-Unis, 2010) avec Keira Knightley, Guillaume Canet, Sam Worthington, Eva Mendes et Griffin Dunne.

lundi 13 juin 2011

Blues

Vu My Blueberry Nights de Wong Kar-Wai. Enchantée. Un beau film en apesanteur, de bons et beaux acteurs (ma palme au couple David Strathairn-Rachel Weisz), un rythme délicat, une musique envoutante. Un poème.


Après une rupture douloureuse, Elizabeth se lance dans un périple à travers l'Amérique, laissant derrière elle une vie de souvenirs, un rêve et un nouvel ami - un émouvant patron de bar - tout en cherchant de quoi panser son cœur brisé. Occupant des emplois de serveuse, Elizabeth se lie d'amitié avec des clients dont les désirs sont plus grands que les siens : un policier tourmenté et sa femme qui l'a quitté, une joueuse dans la déveine qui a une affaire à régler...




Image hébergée par servimg.comMy Blueberry Nights de Wong Kar-Wai (Etats-Unis, 2007) avec Norah Jones, Jude Law, David Strathairn, Rachel Weisz, Natalie Portman...

lundi 30 mai 2011

Bof, bof et beurk

L’Étrange histoire de Benjamin Button de David Fincher
"Curieux destin que le mien..." Ainsi commence l'étrange histoire de Benjamin Button, cet homme qui naquit à 80 ans et vécut sa vie à l'envers, sans pouvoir arrêter le cours du temps. Situé à La Nouvelle-Orléans et adapté d'une nouvelle de F. Scott Fitzgerald, le film suit ses tribulations de 1918 à nos jours. L'étrange histoire de Benjamin Button : l'histoire d'un homme hors du commun. Ses rencontres et ses découvertes, ses amours, ses joies et ses drames. Et ce qui survivra toujours à l'emprise du temps...

 
Invictus de Clint Eastwood
En 1994, l'élection de Nelson Mandela consacre la fin de l'Apartheid, mais l'Afrique du Sud reste une nation profondément divisée sur le plan racial et économique. Pour unifier le pays et donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune avec le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africaine. Leur pari : se présenter au Championnat du Monde 1995...

 

1984 de Michael Radford
Manipulant et contrôlant les moindres détails de la vie de ses sujets, Big Brother est le chef spirituel d'Oceania, l'un des trois Etats dont la capitale est Londres. Le bureaucrate Winston Smith travaille dans l'un des départements. Mais un jour il tombe amoureux de Julia, ce qui est un crime. Tous les deux vont tenter de s'échapper, mais dans ce monde cauchemardesque divisé en trois, tout être qui se révolte est brisé.





Aucun rapport entre les 3 sauf que ce sont les derniers films que j'ai vu. Bilan mitigé pour l'ensemble. Voici mes impressions pêle-mêle :
-pas passionnée par Benjamin Button : Bon, ça se laisse regarder. Mais c'est long et un peu lourdaud. C'est davantage la prouesse technique qu'on admire. Quelques touches sympathiquesmais un ensemble convenu et patapouf...

-restée stoïque devant Invictus. Je n'arrive pas réellement à comprendre l'enthousiasme des critiques devant ce film gentillet. C'est parce que c'est Eastwood qu'ils se sentent obligés d’encenser le film ? Je trouve que c'est du Eastwood mineur. Tout est bien mièvre. Le genre de film qui ne me laissera pas un souvenir impérissable...

-très déçue par 1984 : Je n'ai pas lu le roman mais j'imagine sans problème qu'il aurait mieux valu pour moi de lire plutôt que de regarder. Le film est confus, brouillon, moche, insipide, incompréhensible et sans intensité. On regarde ça comme on regarderait Télé Shopping. Quel ennui.

Image hébergée par servimg.comL'Etrange histoire de Benjamin Button (USA, 2010) de David Fincher avec Brad Pitt, Cate Blanchett, Julia Ormond...

Image hébergée par servimg.comInvictus (USA, 2010) de Clint Eastwood avec Morgan Freeman et Matt Damon
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1984 (USA, 1984) de Michael Radford avec John Hurt, Suzanna Hamilton, Richard Burton...

samedi 21 mai 2011

2 chambres, 2 vues

A Room with a View est un roman d'E.M. Forster, paru en 1908. Il est édité en France chez 10/18 sous le titre Avec vue sur l'Arno. Je l'ai lu il y a longtemps. J'avais bien aimé le style de Forster et le charme de l'histoire.

J'y reviens aujourd'hui car j'ai regardé hier soir une adaptation télé du roman, qui date de 2007. Bien sûr, impossible de ne pas comparer au chef d’œuvre qu'en avait tiré James Ivory en 1986 avec Helena Bonham Carter, Maggie Smith et Daniel Day Lewis. En français, c'est bien sûr Chambre avec Vue.

Alors bon, le bilan de ce téléfilm, c'est assez (très) mitigé. Le téléfilm s'éloigne quand même pas mal du roman, les acteurs sont plutôt mal choisis/mal assortis (décidément, Elaine Cassidy est toujours aussi fade), les décors et les costumes sont moches et le parti pris dramatique du film m'a déplu. On est loin du romantisme splendide et de la délicieuse fraîcheur du film d'Ivory. Et puis Helena Bonham Carter incarne une Lucy tellement plus intéressante que Elaine Cassidy. Les autres acteurs du téléfilm sont aussi tous dans l'ensemble en deça de leurs prédécesseurs. Et leurs personnages bien moins fouillés : à titre d'exemples, non seulement le duel Bonham Carter-Cassidy voit la victoire de la première, mais aussi le duel Maggie Smith-Sophie Thompson ne laisse aucune chance à la seconde (Smith est épatante et le personnage de Charlotte absolument irrésistible dans le film de 1986). Quant à la ville de Florence, elle est vraiment mal mise en valeur dans le téléfilm...

Elaine Cassidy et Laurence Fox dans l'adaptation 2007
L'histoire : 1908-Lucy Honeychurch est une jeune anglaise de bonne famille en villégiature à Florence avec sa cousine et chaperon Charlotte. La pensione où les deux sont descendues accueillent quelques personnages pittoresques et hauts en couleurs comme Miss Lavish, une romancière qui vient s'inspirer de l'Italie pour écrire son prochain roman, M. Emerson, gentleman en retraite et son fils George ou encore les demoiselles Alan, deux vieilles filles... Au cours d'une promenade dans les collines autour de Florence, George arrache un baiser à Lucy, que surprend Charlotte. Cette dernière précipite alors leur retour en Angleterre, où Lucy accepte la demande en mariage de Cecil Vyse...








Image hébergée par servimg.comChambre avec Vue de James Ivory (Grande-Bretagne, 1986) avec Helena Bonham Carter, Maggie Smith, Denholm Elliot, Julian Sands, Simon Callow, Daniel Day Lewis, Judy Dench, Rupert Graves, Rosemary Leach...

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Julian Sands et Helena Bonham Carter dans l'adaptation 1986
Chambre avec Vue de Laura Mackie (Grande-Bretagne, 2007) avec Elaine Cassidy, Rafe Spall, Sophie Thompson, Laurence Fox, Thimothy Spall, Elizabeth McGovern...

jeudi 19 mai 2011

James et Sarah


J'avais 12 ans lorsque le film de Randa Haines est sorti en salles et je suis allée le voir 3 fois à l'époque. Depuis, il a toujours occupé une place particulière dans mon cœur de ciné-phage. Je le revois une fois par an à peu près. Inoubliables Marlee Matlin et William Hurt, tous deux sublimes. Inoubliables scènes. Un des films de mon coeur...

James Leeds est professeur pour sourds et malentendants. Lorsqu'il arrive à la Governor Kittridge School en Nouvelle-Angleterre, ses méthodes plutôt inhabituelles en surprennent plus d'un, à commencer par le directeur de l'école, Curtis Franklin. James obtient des miracles avec la plupart de ses élèves, dont la dynamique Lydia. Mais il y a Sarah. Sarah, ancien élève de l'école et qui à 25 ans y est devenue femme de ménage. Sarah qui s'est enfermée dans son mutisme. Sarah qui fascine James...



Image hébergée par servimg.comLes Enfants du Silence (Children of a lesser God) de Randa Haines (Etats-Unis, 1987) avec William Hurt, Marlee Matlin, Philip Bosco, Piper Laurie...

dimanche 8 mai 2011

Verte

Lancée dans les films classiques, je viens de revoir le film de John Ford, Qu'elle était verte ma vallée. Je l'avais vu il y a trèèèès longtemps. Je crois que je devais être à l'école primaire. J'en gardais un très beau souvenir même si je ne me souvenais pas de grand chose.

L'histoire : Dans une petite ville du Pays de Galles, un père et ses cinq fils travaillent à la mine de charbon et la vie quotidienne s’écoule paisiblement, rythmée par des habitudes devenues de vrais rites. Mais les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles et les fils décident de faire grève, contre l’avis de leur père…

Un beau film sur le monde ouvrier. Une merveilleuse saga familiale aux personnages bons et attachants. Des images classieuses magnifiques. De très grands acteurs (mention spéciale à Walter Pidgeon et Donald Crisp). Un grand film humaniste.





Image hébergée par servimg.comQu'elle était verte ma vallée (Etats-Unis, 1941) de John Ford avec Roddy McDowall, Walter Pidgeon, Maureen O'Hara, Donald Crisp...

mercredi 27 avril 2011

Circus !

Revu avec un immense plaisir Sous le plus grand chapiteau du monde -The Greatest Show on Earth de Cecil B. DeMille, avec Charlton Heston et James Stewart.

Je l'avais vu il y a bien longtemps, comme beaucoup, un après-midi de vacances (ou de jour férié) et c'est toujours un grand bonheur. Je suis ultra fan ! Un beau film sur les coulisses d'un grand cirque, un bel hommage à ces personnes qui voyagent pour faire rêver petits et grands. Des scènes spectaculaires et de grands acteurs. Et l'Oscar du meilleur film 1952. Par contre, pas d'édition Blu-Ray à priori, ce qui est dommage car l'édition DVD que j'ai acheté est particulièrement pourrie niveau qualité...

L'histoire :  Brad Braden, manager d'un grand cirque, engage Sébastian, un trapéziste star pour redorer le blason de son entreprise en perte de vitesse. Brad laisse Sébastian prendre la place de Holly, jusqu'alors trapéziste vedette et amoureuse de Brad, sur la piste centrale...

Un petit extrait :


Image hébergée par servimg.comSous le plus grand chapiteau du monde (Etats-Unis, 1952) de Cecil B. DeMille avec Charlton Heston, Betty Hutton, Cornel Wilde, James Stewart, Dorothy Lamour, Gloria Grahame, Lawrence Tierney...

samedi 29 janvier 2011

Les copains d'abord


J'ai vu Les Petits Mouchoirs de Guillaume Canet et j'ai passé un moment sympathique. Mais ça casse pas trois pattes à un canard et c'est un peu du déjà vu, un peu beaucoup cliché. Rien de nouveau sous le soleil et la fin est vraiment facile...

Mais bon, c'était pas désagréable...

A la suite d'un événement bouleversant, une bande de copains décide, malgré tout, de partir en vacances au bord de la mer comme chaque année. Leur amitié, leurs certitudes, leur culpabilité, leurs amours en seront ébranlées. Ils vont enfin devoir lever les "petits mouchoirs" qu'ils ont posés sur leurs secrets et leurs mensonges.



Image hébergée par servimg.comLes Petits Mouchoirs de Guillaume Canet (France, 2010) avec François Cluzet, Marion Cotillard, Benoît Magimel, Gilles Lellouche, Laurent Lafitte, Jean Dujardin...

vendredi 10 septembre 2010

Le chant des sirènes

Syracuse, un pêcheur irlandais, découvre un jour dans son filet une jeune femme prénommée Ondine. Sa petite fille, Annie, se persuade qu'elle est une Selkie, une créature des océans. Syracuse, dont le quotidien est difficile, finit par tomber amoureux de Ondine...

A la fois conte romanesque et film social, Ondine est un joli film, plein de finesse, avec des comédiens très justes (Colin Farrell est encore une fois impeccable). Magique et poétique.

Image hébergée par servimg.comOndine de Neil Jordan (Irlande, 2010) avec Colin Farrell, Stephen Rea, Alicja Bachleda-Curus, Tony Curran et Alison Barry.

vendredi 13 août 2010

La vieille femme et l'enfant




Pour les vacances, Sang-woo est contraint d'aller à la campagne chez sa  grand-mère qu'il ne connaît pas. Mordu de jeux vidéo et de super-héros,  ce jeune citadin de Séoul doit apprendre à s'adapter à cette vie en pleine nature  et à cohabiter avec cette vieille femme aussi lente qu'une tortue...

Jiburo est un joli film en forme de chronique muette douce amère. Pudique et tendre. D'une grande douceur...

Image hébergée par servimg.comJiburo de Lee Jung-hyang (Corée du Sud, 2002) avec Yoo Seung-ho, Eul-boon Kim, Seung-ho Yu...

mercredi 28 juillet 2010

Foutu Bruges

Je viens de finir Bon Baisers de Bruges (In Bruges) de Martin McDonagh, avec le génial mais sous estimé Colin Farrell (Golden Globe du meilleur acteur pour ce film), l'excellent Brendan Gleeson, le grand Ralph Fiennes, la jolie Clémence Poésy et le Belge Jérémie Rénier.

Un bijou de polar épatant.
A la fois film d'humour grinçant et absurde et drame psychologique presque surréaliste.
Absolument indispensable !

L'histoire : Après un contrat qui a mal tourné à Londres, deux tueurs à gages  reçoivent l'ordre d'aller se faire oublier quelque temps à Bruges.
Ray  est rongé par son échec et déteste la ville, ses canaux, ses rues  pavées et ses touristes. Ken, tout en gardant un œil paternaliste sur  son jeune collègue, se laisse gagner par le calme et la beauté de la  cité.
Alors qu'ils attendent désespérément l'appel de leur employeur,  leur séjour forcé les conduit à faire d'étranges rencontres avec des  habitants, des touristes, un acteur américain nain tournant un film  d'art et essai européen, des prostituées et une jeune femme qui pourrait  bien cacher quelques secrets aussi sombres que les leurs...





Image hébergée par servimg.comBons Baisers de Bruges de Martin McDonagh (Angleterre, 2008) avec Colin Farell, Brendan Gleeson, Ralph Fiennes, Clémence Poésy, Jérémie Rénier, Ciaran Hinds...

dimanche 25 juillet 2010

Grande dépression

Regardé hier soir De l'Ombre à la Lumière (The Cinderella Man, titre original, autrement plus féérique) de Ron Howard, avec Russell Crowe et Renée Zellweger.

Une œuvre éblouissante et maîtrisée de bout en bout avec des acteurs  bouleversants et remarquables. Une reconstitution historique minutieuse et des scènes de combats magnifiques. J'ai adoré et je me suis complètement laissée entraînée par cette incroyable histoire vraie de ce héros populaire, humble et dévoué à sa famille... Et j'ai versé mes petites larmes...

Russell Crowe, magistral, n'a jamais été plus touchant et Renée Zellweger livre une performance admirable. A noter aussi la performance superbe de Paul Giamatti...



L'histoire : Les années 30 aux États-Unis : boxeur prometteur, Jim Braddock s'est vu contraint  d'abandonner la compétition après une série de défaites. Alors que  l'Amérique sombre dans la Grande Dépression, Jim accepte n'importe quel  petit boulot pour faire vivre sa femme Mae et leurs enfants. Il  n'abandonne pourtant pas l'espoir de remonter un jour sur le ring...
Grâce à une annulation de dernière minute, Jim est appelé à combattre le deuxième
challenger mondial, et à la stupéfaction générale, il gagne au troisième round.  Malgré son poids inférieur à celui de ses adversaires et des blessures  répétées aux mains, il accumule les victoires. Portant les espoirs et  les rêves des plus démunis, celui que l'on surnomme désormais  "Cinderella Man" s'apprête à affronter Max Baer, le redoutable champion  du monde qui a déjà tué deux hommes en combat...



Image hébergée par servimg.comDe l'Ombre à la Lumière de Ron Howard (Etats-Unis, 2005) avec Russell Crowe, Renée Zellweger, Paul Giamatti, Paddy Considine, Bruce McGill, Craig Bierko...