Warrior de Gavin O'Connor, avec Tom Hardy, Joel Edgerton et Nick Nolte
Ancien Marine brisé, Tommy Conlon rentre au pays et demande à son père
de le préparer pour un tournoi d’arts martiaux mixtes qui lui
permettrait de gagner une fortune. Personne ne sait ce qu’il espère
faire de cet argent. Le propre frère de Tommy, Brendan, décide lui aussi
de s’engager dans la compétition pour essayer de sauver sa famille.
Entre les deux frères, les années n’ont pas adouci les rancœurs.
Immanquablement,
les routes de Tommy et de Brendan vont bientôt se croiser. Au-delà de
l’affrontement qui s’annonce, pour chacun, quelle que soit la cause
qu’ils défendent, il n’est pas seulement question de remporter un prix,
mais de mener le combat d’une vie…
Joel Edgerton et Tom Hardy incarnent ces frères élevés dans la douleur. D'un scénario classique, Gavin O'Connor, armé d'un trio d'acteurs virtuoses, tire un film aux combats impressionnants et qui dégage une puissance émotionnelle et une intensité digne des plus grands films de combats hollywoodiens. Brut, sonnant, rageur.
Warrior de Gavin O'Connor (Etats-Unis, 2010) avec Tom Hardy, Joel Edgerton, Nick Nolte, Jennifer Morrison, Frank Grillo, Kevin Dunn...
mardi 20 décembre 2011
Rage
Libellés :
*****,
Cinéma,
Film,
Film dramatique,
Joel Edgerton,
Tom Hardy
lundi 19 décembre 2011
Glacé
Déçue par Bright Star...
Ça faisait un moment que j'attendais pour regarder le film de Jane Campion et s'il est très beau esthétiquement (des plans magnifiques, des scènes splendides, des moments de grâce), je l'ai trouvé dans l'ensemble sec et figé.
Jane Campion raconte toujours la même histoire et ses héroïnes se ressemblent : Fanny ne fait pas exception : elle est une jeune fille captive d'une société qui l'étouffe. Le personnage -donc le film- aurait pu être brûlant mais il n'est que tiède.
J'ai eu beaucoup de mal à voir le feu sous la glace et cette histoire d'amour m'a laissée de marbre. Quant aux acteurs, ils ne m'ont pas follement inspirée : je ne suis pas méga fan d'Abbie Cornish et je n'ai pas été emballée par Ben Whishaw.
Aucun moment de passion, aucun moment d'intensité. Vraiment déçue, surtout que je suis une fan absolue de La Leçon de Piano...
Londres, 1818. Un jeune poète anglais de 23 ans, John Keats, et sa voisine Fanny Brawne entament une liaison amoureuse secrète...
Bright Star de Jane Campion (Grande-Bretagne/Australie, 2009) avec Abbie Cornish, Ben Whishaw, Kerry Fox, Paul Schneider...
Ça faisait un moment que j'attendais pour regarder le film de Jane Campion et s'il est très beau esthétiquement (des plans magnifiques, des scènes splendides, des moments de grâce), je l'ai trouvé dans l'ensemble sec et figé.
Jane Campion raconte toujours la même histoire et ses héroïnes se ressemblent : Fanny ne fait pas exception : elle est une jeune fille captive d'une société qui l'étouffe. Le personnage -donc le film- aurait pu être brûlant mais il n'est que tiède.
J'ai eu beaucoup de mal à voir le feu sous la glace et cette histoire d'amour m'a laissée de marbre. Quant aux acteurs, ils ne m'ont pas follement inspirée : je ne suis pas méga fan d'Abbie Cornish et je n'ai pas été emballée par Ben Whishaw.
Aucun moment de passion, aucun moment d'intensité. Vraiment déçue, surtout que je suis une fan absolue de La Leçon de Piano...
Londres, 1818. Un jeune poète anglais de 23 ans, John Keats, et sa voisine Fanny Brawne entament une liaison amoureuse secrète...
Bright Star de Jane Campion (Grande-Bretagne/Australie, 2009) avec Abbie Cornish, Ben Whishaw, Kerry Fox, Paul Schneider...
Libellés :
***,
Cinéma,
Film,
Film dramatique,
Jane Campion
mercredi 14 décembre 2011
Kate, Matt, Marion, Larry, Jennifer [et al...]
Une pandémie dévastatrice explose à l’échelle du globe… Au Centre de Prévention et de Contrôle des Maladies, des équipes se mobilisent pour tenter de décrypter le génome du mystérieux virus, qui ne cesse de muter. Le Sous-Directeur Cheever, confronté à un vent de panique collective, est obligé d’exposer la vie d’une jeune et courageuse doctoresse. Tandis que les grands groupes pharmaceutiques se livrent une bataille acharnée pour la mise au point d’un vaccin, le Dr. Leonora Orantes, de l’OMS, s’efforce de remonter aux sources du fléau. Les cas mortels se multiplient, jusqu’à mettre en péril les fondements de la société, et un blogueur militant suscite une panique aussi dangereuse que le virus en déclarant qu’on "cache la vérité" à la population…
Glaçant, clinique, Contagion fait figure de documentaire sur ce qui pourrait bien être un futur proche pour l'espèce humaine. Comme attendu, ce n'est pas un thriller ni un blockbuster que nous offre Steven Soderbergh, mais il film tendu et flippant, redoutablement réaliste.
Contagion (Etats-Unis, 2011) de Steven Soderbergh avec Kate Winslet, Laurence Fishburne, Matt Damon, Jude Law, Jennifer Ehle, Bryan Cranston, Marion Cotillard, Gwyneth Paltrow, John Hawkes...
Libellés :
****,
Cinéma,
Film,
Film dramatique,
Kate Winslet
dimanche 11 décembre 2011
A l'Ouest, rien de nouveau...
Vu il y a quelques semaines...
Cowboys et envahisseurs de Jon Favreau, avec Daniel Craig, Harrison Ford et Adam Beach
Arizona, 1873. Un homme qui a perdu tout souvenir de son passé se retrouve à Absolution, petite ville austère perdue en plein désert. Le seul indice relatif à son histoire est un mystérieux bracelet qui enserre son poignet. Alors que la ville est sous l’emprise du terrible colonel Dolarhyde, les habitants d’Absolution vont être confrontés à une menace bien plus inquiétante, venue d’ailleurs...
Pas de scénario, trop sérieux, ennuyeux. Un blockbuster ultra décevant et largement oubliable...
Cowboys et envahisseurs de Jon Favreau, avec Daniel Craig, Harrison Ford et Adam Beach
Arizona, 1873. Un homme qui a perdu tout souvenir de son passé se retrouve à Absolution, petite ville austère perdue en plein désert. Le seul indice relatif à son histoire est un mystérieux bracelet qui enserre son poignet. Alors que la ville est sous l’emprise du terrible colonel Dolarhyde, les habitants d’Absolution vont être confrontés à une menace bien plus inquiétante, venue d’ailleurs...
Pas de scénario, trop sérieux, ennuyeux. Un blockbuster ultra décevant et largement oubliable...
Libellés :
**,
Adam Beach,
Cinéma,
Daniel Craig,
Film,
Film d'action,
Harrison Ford
lundi 5 décembre 2011
Absence de gris
La Couleur des Sentiments (The Help), d'après le roman de Kathryn Stockett et réalisé par Tate Taylor a été l'un des succès surprise de l’année aux States.
L'histoire : Dans la petite ville de Jackson, Mississippi, durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement...
J'ai vu le film il y a 2 semaines.
Les actrices sont très bien : Viola Davis, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Octavia Spencer, Emma Stone... Mais l'histoire est tellement déjà vue, et surtout pourquoi traiter encore aujourd'hui un tel sujet de cette manière ?? Pourquoi faut-il encore une fois rajouter un personnage de Blanc sauveur pour raconter la lutte des Noirs pour les droits civiques aux États Unis ?? C'est agaçant !! Je rajouterais que le film ne fait pas dans la nuance, bien sûr et qu'il dégouline de bons sentiments pour changer. Mais bon, ça se laisse regarder...
La Couleur des Sentiments de Tate Taylor (Etats-Unis, 2011) avec Viola Davis, Octavia Spencer, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Emma Stone, Sissy Spacek, Cicely Tyson, Mary Steenburgen...
L'histoire : Dans la petite ville de Jackson, Mississippi, durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement...
J'ai vu le film il y a 2 semaines.
Les actrices sont très bien : Viola Davis, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Octavia Spencer, Emma Stone... Mais l'histoire est tellement déjà vue, et surtout pourquoi traiter encore aujourd'hui un tel sujet de cette manière ?? Pourquoi faut-il encore une fois rajouter un personnage de Blanc sauveur pour raconter la lutte des Noirs pour les droits civiques aux États Unis ?? C'est agaçant !! Je rajouterais que le film ne fait pas dans la nuance, bien sûr et qu'il dégouline de bons sentiments pour changer. Mais bon, ça se laisse regarder...
La Couleur des Sentiments de Tate Taylor (Etats-Unis, 2011) avec Viola Davis, Octavia Spencer, Bryce Dallas Howard, Jessica Chastain, Emma Stone, Sissy Spacek, Cicely Tyson, Mary Steenburgen...
dimanche 27 novembre 2011
La chose d'un autre monde
The Thing, réalisé par Matthijs van Heijningen Jr. est le prequel de... The Thing, le chef-d’œuvre de John Carpenter -lui même remake de La chose d'un autre monde, film des années 50- et il est redoutablement efficace.
De la première image à la toute dernière, je me suis laissée totalement entraînée par ce prequel-remake, à la fois hommage à Carpenter et renouveau de la bête. Le suspense est au rendez-vous et les effets spéciaux sont terribles !
Quant au fait d'avoir confier le rôle principal à une femme, ben, c'est plutôt une bonne idée pour faire contrepoids à l'absence de dames dans le film de Carpenter.
A signaler les présences de Joel Edgerton, récemment frère de Tom Hardy dans Warrior et ex tonton de Luke Skywalker et de Adewale Akinnuoye-Agbaje, le Mr Eko de Lost...
Franchement, une excellente surprise !
L'histoire : Antarctique: un continent d’une extraordinaire beauté. Il abrite également un poste d’observation reculé où une mission scientifique norvégienne se transforme en mission de survie lorsqu’un alien est découvert pris dans la glace. La créature, qui peut changer d’apparence, est accidentellement relâchée. Elle possède la capacité de se transformer en parfaite réplique de n’importe quel être vivant...
The Thing de Matthijs van Heijningen Jr. (Etats-Unis, Canada, 2011) avec Mary Elizabeth Winstead, Joel Edgerton, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Ulrich Thomsen, Eric Christian Olsen...
De la première image à la toute dernière, je me suis laissée totalement entraînée par ce prequel-remake, à la fois hommage à Carpenter et renouveau de la bête. Le suspense est au rendez-vous et les effets spéciaux sont terribles !
Quant au fait d'avoir confier le rôle principal à une femme, ben, c'est plutôt une bonne idée pour faire contrepoids à l'absence de dames dans le film de Carpenter.
A signaler les présences de Joel Edgerton, récemment frère de Tom Hardy dans Warrior et ex tonton de Luke Skywalker et de Adewale Akinnuoye-Agbaje, le Mr Eko de Lost...
Franchement, une excellente surprise !
Mr Eko et Oncle Owen |
L'histoire : Antarctique: un continent d’une extraordinaire beauté. Il abrite également un poste d’observation reculé où une mission scientifique norvégienne se transforme en mission de survie lorsqu’un alien est découvert pris dans la glace. La créature, qui peut changer d’apparence, est accidentellement relâchée. Elle possède la capacité de se transformer en parfaite réplique de n’importe quel être vivant...
The Thing de Matthijs van Heijningen Jr. (Etats-Unis, Canada, 2011) avec Mary Elizabeth Winstead, Joel Edgerton, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Ulrich Thomsen, Eric Christian Olsen...
Libellés :
*****,
Cinéma,
Film,
Film fantastique,
John Carpenter
mardi 22 novembre 2011
Triptyque moyen
3 films vus récemment qui ne cassent pas trois pattes à un canard :
Ensemble, c'est tout de Claude Berri, d'après Gavalda : vraiment pas terrible, pas très bien interprété, sans éclat et déjà vu et revu...
L'histoire : La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit. Camille fait des ménages le soir dans les bureaux et dessine avec grâce à ses heures perdues. Philibert est un jeune aristocrate féru d'histoire, timide, émotif et solitaire, il occupe un grand appartement que possède sa famille. Franck est cuisinier, viril et tendre, il aime infiniment sa grand-mère, Paulette, une vieille dame fragile et drôle. Leurs doutes, leurs chagrins, c'est ensemble qu'ils vont apprendre à les adoucir, pour avancer, réaliser leurs rêves. Ils vont se découvrir et comprendre qu'ensemble, on est plus fort.
Hop de Tim Hill, un film pour enfants pas terrible ni très drôle et qui ne pourra plaire qu'aux tout petits...
L'histoire : Robbie est le futur Lapin de Pâques, poste qu'occupe son père. Mais Robbie a d'autres rêves et souhaite devenir batteur dans un groupe de Rock. A la veille de la passation de pouvoir, Robbie s’enfuit. Il arrive à Hollywood où il rencontre Fred, un jeune homme qui nourrit de grands rêves qu’il n’a toujours pas réalisés...
Snow Flower and the Secret fan de Wayne Wang, dont je ne connaissais rien mais qui m'a attiré par son affiche. Je sais, je devrais faire plus attention des fois. Bon, le film est assez longuet et on n'arrive pas à trop comprendre le but de tout ça à part peut être celui de nous faire mourir d'ennui. Les actrices ne sont pas très convaincante, l'histoire et la mise en scène encore moins. Pas d'intérêt particulier...
L'histoire : Au XIXème siècle, l'histoire d'une grande amitié entre Lily et Snow Flower dans une société aux codes culturels strictes. Et parallèlement à notre époque, celle de deux jeunes femmes dont l'une se retrouve dans le coma après un grave accident de la circulation...
Ensemble, c'est tout de Claude Berri (France, 2007) avec Audrey Tautou et Guillaume Canet
Hop de Tim Hill (Etats-Unis, 2010) avec James Marsden et un lapin
Snow Flower and the Secret fan (Etats-Unis, 2011) avec Bingbing Li, Jeon Ji-huyn et Hugh Jackman
Ensemble, c'est tout de Claude Berri, d'après Gavalda : vraiment pas terrible, pas très bien interprété, sans éclat et déjà vu et revu...
L'histoire : La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit. Camille fait des ménages le soir dans les bureaux et dessine avec grâce à ses heures perdues. Philibert est un jeune aristocrate féru d'histoire, timide, émotif et solitaire, il occupe un grand appartement que possède sa famille. Franck est cuisinier, viril et tendre, il aime infiniment sa grand-mère, Paulette, une vieille dame fragile et drôle. Leurs doutes, leurs chagrins, c'est ensemble qu'ils vont apprendre à les adoucir, pour avancer, réaliser leurs rêves. Ils vont se découvrir et comprendre qu'ensemble, on est plus fort.
Hop de Tim Hill, un film pour enfants pas terrible ni très drôle et qui ne pourra plaire qu'aux tout petits...
L'histoire : Robbie est le futur Lapin de Pâques, poste qu'occupe son père. Mais Robbie a d'autres rêves et souhaite devenir batteur dans un groupe de Rock. A la veille de la passation de pouvoir, Robbie s’enfuit. Il arrive à Hollywood où il rencontre Fred, un jeune homme qui nourrit de grands rêves qu’il n’a toujours pas réalisés...
Snow Flower and the Secret fan de Wayne Wang, dont je ne connaissais rien mais qui m'a attiré par son affiche. Je sais, je devrais faire plus attention des fois. Bon, le film est assez longuet et on n'arrive pas à trop comprendre le but de tout ça à part peut être celui de nous faire mourir d'ennui. Les actrices ne sont pas très convaincante, l'histoire et la mise en scène encore moins. Pas d'intérêt particulier...
L'histoire : Au XIXème siècle, l'histoire d'une grande amitié entre Lily et Snow Flower dans une société aux codes culturels strictes. Et parallèlement à notre époque, celle de deux jeunes femmes dont l'une se retrouve dans le coma après un grave accident de la circulation...
Ensemble, c'est tout de Claude Berri (France, 2007) avec Audrey Tautou et Guillaume Canet
Hop de Tim Hill (Etats-Unis, 2010) avec James Marsden et un lapin
Snow Flower and the Secret fan (Etats-Unis, 2011) avec Bingbing Li, Jeon Ji-huyn et Hugh Jackman
Libellés :
**,
Cinéma,
Comédie dramatique,
Film,
Film d'animation
lundi 21 novembre 2011
Tip top
Une Séparation de Asghar Farhadi, que je viens de voir tardivement (je sais)...
Une Séparation (Iran, 2010) de Asghar Farhadi avec Leila Hatami, Peyman Moadi, Shahab Hosseini, Sareh Bayat, Sarina Farhadi...
S'y
croisent et s'affrontent deux familles, deux histoires dans l'histoire
de l'Iran d'aujourd'hui. Une œuvre couronnée au Festival de Berlin,
carrément bluffante de maîtrise. On est au cœur de l'intrigue, au cœur
de cette histoire de mensonges, au plus près des personnages et de leur
intimité. Très complexe, très intense. Un grand film. Ah oui, et puis quand même, il faut aussi souligner que les acteurs sont ENORMES...
L'histoire : Lorsque sa femme le quitte, Nader engage une aide-soignante pour
s'occuper de son père malade. Il ignore alors que la jeune femme est
enceinte et a accepté ce travail sans l'accord de son mari, un homme
psychologiquement instable…
Une Séparation (Iran, 2010) de Asghar Farhadi avec Leila Hatami, Peyman Moadi, Shahab Hosseini, Sareh Bayat, Sarina Farhadi...
vendredi 28 octobre 2011
Magnifique mélancolie
Melancholia est le premier film de Lars Von Trier que je vois depuis Breaking the Waves. C'est dire ! L'arrogance de ce monsieur est pour beaucoup dans ma fuite. Mais bon. Le sujet me plaisait et puis les acteurs aussi (Kirsten Dunst, Kiefer Sutherland, Charlotte Gainsbourg). Alors que pour rien au monde je ne voudrais souffrir son machin avec Bjork ou bien les trucs qu'il a tourné ensuite avec Nicole Kidman et Bryce Dallas Howard ! No comment sur son intervention malheureuse au dernier festival de Cannes...
Bref. Oublions l'olibrius et admirons cette œuvre magnifique, métaphysique et désenchantée. Loin, donc, d'avoir vu tous les films de LVT, je pense ne pas me tromper en écrivant qu'il s'agit là sans de sa plus grande réussite. Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg sont bouleversantes et le dernier plan du film est à tomber par terre. Marquant et inoubliable.
L'histoire : À l'occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine, Claire, et de son beau-frère, John. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre...
Melancholia de Lars Von Trier (Etats-Unis-Danemark-Suède, 2011) avec Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kiefer Surtherland, Charlotte Rampling, Stellan Skarsgard, John Hurt...
Bref. Oublions l'olibrius et admirons cette œuvre magnifique, métaphysique et désenchantée. Loin, donc, d'avoir vu tous les films de LVT, je pense ne pas me tromper en écrivant qu'il s'agit là sans de sa plus grande réussite. Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg sont bouleversantes et le dernier plan du film est à tomber par terre. Marquant et inoubliable.
L'histoire : À l'occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine, Claire, et de son beau-frère, John. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre...
Melancholia de Lars Von Trier (Etats-Unis-Danemark-Suède, 2011) avec Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kiefer Surtherland, Charlotte Rampling, Stellan Skarsgard, John Hurt...
mardi 25 octobre 2011
Angoisse
Otto Preminger réalise Bunny Lake a disparu en 1965 avec Carol Lynley, Keir Dullea et Laurence Olivier.
Lynley y interprète Ann, une jeune maman qui vient d'emménager à Londres avec sa fille Felicia -dite Bunny. Elle y retrouve son frère Stephen (Dullea) qui l'aide à s'installer. Mais alors qu'Ann vient chercher Bunny à l'école, celle-ci reste introuvable. Le Lieutenant Newhouse, chargé de l'enquête sur la disparition de l'enfant (Olivier), se rend bientôt compte qu'il est bien difficile de trouver quelqu'un se souvenant de la petite fille...
Un film au scénario très psychanalytique, très moderne, un récit étouffant, une superbe photographie et noir et blanc, des interprètes plutôt fins et bien choisis. Bunny Lake... m'a franchement marquée lorsque je l'ai vu gamine (je devais avoir 12 ou 13 ans) et je ne l'ai revu qu'il y a quelques semaines. Je suis toujours admirative !
Ci-dessous, la séquence d'ouverture du film, par Saul Bass :
Bunny Lake a disparu (Bunny Lake is missing) d'Otto Preminger (Etats-Unis/Angleterre, 1965) avec Laurence Olivier, Carol Lynley, Keir Dullea, Anna Massey...
Lynley y interprète Ann, une jeune maman qui vient d'emménager à Londres avec sa fille Felicia -dite Bunny. Elle y retrouve son frère Stephen (Dullea) qui l'aide à s'installer. Mais alors qu'Ann vient chercher Bunny à l'école, celle-ci reste introuvable. Le Lieutenant Newhouse, chargé de l'enquête sur la disparition de l'enfant (Olivier), se rend bientôt compte qu'il est bien difficile de trouver quelqu'un se souvenant de la petite fille...
Un film au scénario très psychanalytique, très moderne, un récit étouffant, une superbe photographie et noir et blanc, des interprètes plutôt fins et bien choisis. Bunny Lake... m'a franchement marquée lorsque je l'ai vu gamine (je devais avoir 12 ou 13 ans) et je ne l'ai revu qu'il y a quelques semaines. Je suis toujours admirative !
Ci-dessous, la séquence d'ouverture du film, par Saul Bass :
Bunny Lake a disparu (Bunny Lake is missing) d'Otto Preminger (Etats-Unis/Angleterre, 1965) avec Laurence Olivier, Carol Lynley, Keir Dullea, Anna Massey...
Libellés :
****,
Cinéma,
Film,
Laurence Olivier,
Otto Preminger,
Suspense
lundi 24 octobre 2011
Auprès de moi, toujours
Never let me go est adapté du roman de Kazuo Ishiguro (Auprès de moi, toujours), et réalisé par l'anglais Mark Romanek.
L'histoire : Depuis l'enfance, Kathy, Ruth et Tommy sont les pensionnaires d'une école en apparence idyllique, une institution coupée du monde où seuls comptent leur éducation et leur bien-être. Devenus jeunes adultes, leur vie bascule : ils découvrent un inquiétant secret qui va bouleverser jusqu'à leurs amours, leur amitié, leur perception de tout ce qu'ils ont vécu jusqu'à présent.
Passée la frustration de ne pas comprendre pourquoi ces trois là ne se rebellent pas (je suppose que le roman explique le pourquoi du comment), on reste scotché à l'histoire de ces êtres paumés et en sursis. Les performances des trois comédiens principaux sont touchantes et le film est d'une grande délicatesse. Une belle et cruelle histoire...
Never let me go (Grande Bretagne, 2010) de Mark Romanek avec Carey Mulligan, Keira Knightley, Andrew Garfield, Charlotte Rampling...
Libellés :
****,
Carey Mulligan,
Cinéma,
Film,
Film de science fiction,
Film dramatique,
Keira Knightley
dimanche 9 octobre 2011
Ghosts story
The Turn of the Screw (Le Tour d'Ecrou), le classique d'Henry James a été plusieurs fois adapté sur grand et petit écran, notamment par Jack Clayton sous le titre Les Innocents, avec Deborah Kerr, en 1961.
Il y a récemment eu une adaptation par la BBC avec Michelle Dockery et Dan Stevens (les Mary et Matthew de Downton Abbey, à nouveau réunis).
J'avais lu le roman il y a quelques années et il ne m'en restait que des bribes (en fait, je l'avais écouté en livre audio).
L'histoire : Londres, 1921. Dans un hôpital accueillant les blessés et les malades, un psychiatre tente d'aider Anne, une jeune femme qu'il considère de prime abord comme étant malade mentale. Un matin, elle réussit à lui parler et lui dit en chuchotant « J'ai vu le diable ». Le psychiatre, surpris, lui demande de lui raconter ce qui s'est passé au manoir où elle a séjourné pendant quelque temps pour s'occuper de deux enfants...
Michelle Dockery est convaincante dans le rôle de Ann, une personnalité bien différente de la Mary de Downton Abbey. Elle porte le film sur ses jolies épaules. L'atmosphère est inquiétante à souhait, ambiguë et l'ensemble est plutôt une jolie réussite.
The Turn of the Screw (Grande-Bretagne, 2009) avec Michelle Dockery, Dan Stevens, Sue Johnston, Nicola Walker, Eva Sayer, Josef Lindsay, Mark Umbers...
Il y a récemment eu une adaptation par la BBC avec Michelle Dockery et Dan Stevens (les Mary et Matthew de Downton Abbey, à nouveau réunis).
J'avais lu le roman il y a quelques années et il ne m'en restait que des bribes (en fait, je l'avais écouté en livre audio).
L'histoire : Londres, 1921. Dans un hôpital accueillant les blessés et les malades, un psychiatre tente d'aider Anne, une jeune femme qu'il considère de prime abord comme étant malade mentale. Un matin, elle réussit à lui parler et lui dit en chuchotant « J'ai vu le diable ». Le psychiatre, surpris, lui demande de lui raconter ce qui s'est passé au manoir où elle a séjourné pendant quelque temps pour s'occuper de deux enfants...
Michelle Dockery est convaincante dans le rôle de Ann, une personnalité bien différente de la Mary de Downton Abbey. Elle porte le film sur ses jolies épaules. L'atmosphère est inquiétante à souhait, ambiguë et l'ensemble est plutôt une jolie réussite.
The Turn of the Screw (Grande-Bretagne, 2009) avec Michelle Dockery, Dan Stevens, Sue Johnston, Nicola Walker, Eva Sayer, Josef Lindsay, Mark Umbers...
Libellés :
***,
Film fantastique,
Henry James,
Téléfilm
jeudi 29 septembre 2011
Prieur
Voilà le trailer de la série adaptée de l'épique roman de Ken Follett (qui sort tout le temps à la bibliothèque et qu'on est obligé de racheter régulièrement !) Les Piliers de la Terre.
L'adaptation est notamment interprétée par un trio d'interprètes fabuleux : Matthew MacFadyen (le Darcy de Keira Knightley dans la version 2005 d'Orgueil et préjugés par Joe Wright), Rufus Sewell (Dark City, Hamlet...) et le grand Ian McShane (l'ordure de Deadwood, le fantôme de Scoop de Woody Allen, le pirate de Pirates des Caraïbes 4...). Et puis aussi la jolie Hayley Atwell et l'inépuisable Donald Sutherland.
La mini série est réussie, joliment mise en scène, les décors sont assez impressionnants, les personnages sont beaux et complexes. Malgré quelques facilités et un scénario parfois un peu simpliste, l'histoire reste captivante et on prend grand plaisir à suivre ces attachants personnages dans leur quête.
Passion et complots dans l'Angleterre du XIIème siècle. Maud, la fille du monarche Henri 1er, se dispute la succession au trône avec son cousin, Stephen. Une lutte de pouvoir qui cause des tensions et déchire le royaume. L'évêque Waleran Bigot et les Hamleigh en profite pour tirer avantage de la situation et satisfaire leurs propres ambitions. Au milieu de cette guerre, le Prieur Philip doit surmonter les innombrables obstacles pour assurer la construction de la cathédrale de Kingsbridge. Face à l’ampleur de la tâche, il peut heuresement compter sur le maître-maçon Tom Builder, son beau-fils Jack, et jeune Aliena. Ensemble, ils vont se serrer les coudes pour réaliser leur rêve…
Les Piliers de la Terre créé par John Pielmeier (États-Unis, 2010) avec Matthew MacFadyen, Ian McShane, Rufus Sewell, Natalia Wörner, Hayley Atwell, Eddie Redmayne, Donald Sutherland, Tony Curran, Alison Pill...
mardi 20 septembre 2011
Comédies
Post pour parler de deux comédies qui sont sorties récemment : Mes meilleures amies et Comment tuer son boss...
Bon. Bilan mitigé pour chacune. Mes meilleures amies, malgré une actrice principale moche et insupportable (Kristen Wiig, jamais entendu parler avant) tient bien la route la première demi heure. Dans le genre trash, on peut difficilement aller plus loin que l'abominable scène de l'essayage dans la boutique de robes de mariées... Après, malheureusement, le film s'aplatit comme une crêpe et vire à la comédie pour fille, bien mémère. La fin est un tantinet cruche et malgré Rose Byrne (à qui on peut décidément reconnaître la faculté de se glisser dans tous les genres !), c'est vraiment rose bonbon. Dommage...
Annie a la poisse. Son fiancé l’a quittée et son nouvel amant est un goujat. Lillian, sa meilleure amie, file quant à elle le parfait amour. Lorsqu’elle lui annonce son futur mariage, Annie oublie ses soucis pour se consacrer à son rôle de témoin et transformer les préparatifs en un moment magique et privilégié. Mais c’est sans compter sur les autres amies de Lillian, l’insatiable et athlétique dragueuse Megan, la candide Becca,l’ex-beauté Rita et l’ultra-snob Helen… toutes incontrôlables et décidées à donner de la voix pour imposer leurs choix dans l’organisation de l’enterrement de vie de jeune fille. Débute alors une délirante aventure…!
Comment tuer son boss est à l'inverse une comédie plutôt machiste, et plutôt destinée à un public mâle. Le film bénéficie (et c'est là quasi la seule bonne chose) de trois guest en la présence de Colin Farrell, Kevin Spacey et Jennifer Aniston venus jouer respectivement les beauf-tortionnaire et nympho. A part eux, le film n'est pas très drôle et les trois acteurs principaux non plus. On file droit vers le happy end sucre d'orge là aussi. Tout ça n'est pas très acide...
Pour Nick, Kurt et Dale, la seule chose qui pourrait rendre le travail quotidien plus tolérable serait de réduire en poussière leurs intolérables patrons. Démissionner étant exclu, les trois copains échafaudent, avec l’aide de quelques verres de trop et les conseils douteux d’un ancien détenu, un plan quelque peu alambiqué, mais infaillible, pour se débarrasser de leurs employeurs respectifs... définitivement. Il n’y a qu’un problème : les plans les plus infaillibles ne le sont qu’autant que les cerveaux qui les ont conçus le sont.
Mes meilleures amies (Etats-Unis, 2011) de Paul Feig avec Kristen Wiig, Rose Byrne, Maya Rudolph, Melissa McCarthy, Ellie Kemper, Chris O'Dowd...
Comment tuer son boss (Etats-Unis, 2011) de Seth Gordon avec Charlie Day, Jason Bateman, Jason Sudeikis, Jennifer Aniston, Colin Farrell, Kevin Spacey, Jamie Foxx, Donald Sutherland...
Bon. Bilan mitigé pour chacune. Mes meilleures amies, malgré une actrice principale moche et insupportable (Kristen Wiig, jamais entendu parler avant) tient bien la route la première demi heure. Dans le genre trash, on peut difficilement aller plus loin que l'abominable scène de l'essayage dans la boutique de robes de mariées... Après, malheureusement, le film s'aplatit comme une crêpe et vire à la comédie pour fille, bien mémère. La fin est un tantinet cruche et malgré Rose Byrne (à qui on peut décidément reconnaître la faculté de se glisser dans tous les genres !), c'est vraiment rose bonbon. Dommage...
Annie a la poisse. Son fiancé l’a quittée et son nouvel amant est un goujat. Lillian, sa meilleure amie, file quant à elle le parfait amour. Lorsqu’elle lui annonce son futur mariage, Annie oublie ses soucis pour se consacrer à son rôle de témoin et transformer les préparatifs en un moment magique et privilégié. Mais c’est sans compter sur les autres amies de Lillian, l’insatiable et athlétique dragueuse Megan, la candide Becca,l’ex-beauté Rita et l’ultra-snob Helen… toutes incontrôlables et décidées à donner de la voix pour imposer leurs choix dans l’organisation de l’enterrement de vie de jeune fille. Débute alors une délirante aventure…!
Comment tuer son boss est à l'inverse une comédie plutôt machiste, et plutôt destinée à un public mâle. Le film bénéficie (et c'est là quasi la seule bonne chose) de trois guest en la présence de Colin Farrell, Kevin Spacey et Jennifer Aniston venus jouer respectivement les beauf-tortionnaire et nympho. A part eux, le film n'est pas très drôle et les trois acteurs principaux non plus. On file droit vers le happy end sucre d'orge là aussi. Tout ça n'est pas très acide...
Pour Nick, Kurt et Dale, la seule chose qui pourrait rendre le travail quotidien plus tolérable serait de réduire en poussière leurs intolérables patrons. Démissionner étant exclu, les trois copains échafaudent, avec l’aide de quelques verres de trop et les conseils douteux d’un ancien détenu, un plan quelque peu alambiqué, mais infaillible, pour se débarrasser de leurs employeurs respectifs... définitivement. Il n’y a qu’un problème : les plans les plus infaillibles ne le sont qu’autant que les cerveaux qui les ont conçus le sont.
Mes meilleures amies (Etats-Unis, 2011) de Paul Feig avec Kristen Wiig, Rose Byrne, Maya Rudolph, Melissa McCarthy, Ellie Kemper, Chris O'Dowd...
Comment tuer son boss (Etats-Unis, 2011) de Seth Gordon avec Charlie Day, Jason Bateman, Jason Sudeikis, Jennifer Aniston, Colin Farrell, Kevin Spacey, Jamie Foxx, Donald Sutherland...
Libellés :
**,
***,
Cinéma,
Colin Farrell,
Comédie,
Film,
Rose Byrne
mercredi 14 septembre 2011
Petit tour à Londres
Au gré de leurs missions, trois ambulanciers sont confrontés à l’humanité dans toute sa splendeur... et sa bêtise.
C'est ainsi qu'Allociné résume le pitch de la série Sirens, produite par Channel 4 (série britannique donc), et qui raconte les mésaventures de Stuart, Ashley et Rachid, trois ambulanciers sympas et attachants. Une série que je prend plaisir à suivre. Mon intérêt augmentant au fil des épisodes (j'en ai regardé 3 pour le moment), c'est de très bonne augure pour la suite ! A noter la présence au générique de Richard Madden, le Robb Stark de Game of Thrones, dans le rôle de Ash, très éloigné de celui qu'il tient dans la série de HBO !
Le teaser, super sympa :
... et un petit trailer réussi :
Sirens, série créée par Brian Fillis en 2011 avec Richard Madden, Rhys Thomas, Kayvan Novak et Amy Beth Hayes.
C'est ainsi qu'Allociné résume le pitch de la série Sirens, produite par Channel 4 (série britannique donc), et qui raconte les mésaventures de Stuart, Ashley et Rachid, trois ambulanciers sympas et attachants. Une série que je prend plaisir à suivre. Mon intérêt augmentant au fil des épisodes (j'en ai regardé 3 pour le moment), c'est de très bonne augure pour la suite ! A noter la présence au générique de Richard Madden, le Robb Stark de Game of Thrones, dans le rôle de Ash, très éloigné de celui qu'il tient dans la série de HBO !
Le teaser, super sympa :
... et un petit trailer réussi :
Sirens, série créée par Brian Fillis en 2011 avec Richard Madden, Rhys Thomas, Kayvan Novak et Amy Beth Hayes.
Libellés :
Angleterre,
Comédie,
Richard Madden,
Série,
Sirens
samedi 10 septembre 2011
Etre ou ne pas être
Thor de Kenneth Branagh
Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre, par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Mais lorsque les forces du mal de son royaume s’apprêtent à se déchaîner sur la Terre, Thor va apprendre à se comporter en véritable héros…
L'inconnu Chris Hemsworth est ma foi franchement impeccable dans le rôle titre de cette grosse production hollywoodienne que Kenneth Branagh, le réalisateur culte de mes années 90, a su transformer en opéra shakespearien. Beaucoup d'humour, une jolie réussite dans le genre...
Thor de Kenneth Branagh (Etats-Unis, 2010) avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Anthony Hopkins, Tom Hiddleston, Stellan Skarsgard, Ray Stevenson...
Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre, par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Mais lorsque les forces du mal de son royaume s’apprêtent à se déchaîner sur la Terre, Thor va apprendre à se comporter en véritable héros…
L'inconnu Chris Hemsworth est ma foi franchement impeccable dans le rôle titre de cette grosse production hollywoodienne que Kenneth Branagh, le réalisateur culte de mes années 90, a su transformer en opéra shakespearien. Beaucoup d'humour, une jolie réussite dans le genre...
Thor de Kenneth Branagh (Etats-Unis, 2010) avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Anthony Hopkins, Tom Hiddleston, Stellan Skarsgard, Ray Stevenson...
Libellés :
***,
Cinéma,
Comics,
Film,
Film fantastique,
Kenneth Branagh,
Natalie Portman
jeudi 25 août 2011
Ti et Dee, même combat
Detective Dee : le mystère de la flamme fantôme de Tsui Hark
Chine, l'an 690. Durant la période trouble correspondant à l’ascension de l’impératrice Wu Ze Tian, tout est prêt pour la cérémonie du couronnement et la petite ville de Chang-An est dans ses habits de fête. Mais une série de morts mystérieuses menace l’intronisation de Wu Ze Tian.
L’impératrice décide alors de faire appel au seul homme capable de percer ce mystère : Le juge Dee, de retour après huit ans de prison pour insolence et insubordination…
Un extraordinaire exercice que ce Detective Dee ! Et un bonheur de le voir incarné sous les traits d'Andy Lau (j'adore, j'adore). Non seulement le film est divertissant, mais il est aussi brillant, virtuose, intelligent ! Du beau et grand cinéma. Espérons vite une nouvelle aventure !!!
Detective Dee de Tsui Hark (Chine, 2010) avec Andy Lau, Carina Lau, Tony Leung Ka Fai, Bingbing Li, Chao Deng...
Chine, l'an 690. Durant la période trouble correspondant à l’ascension de l’impératrice Wu Ze Tian, tout est prêt pour la cérémonie du couronnement et la petite ville de Chang-An est dans ses habits de fête. Mais une série de morts mystérieuses menace l’intronisation de Wu Ze Tian.
L’impératrice décide alors de faire appel au seul homme capable de percer ce mystère : Le juge Dee, de retour après huit ans de prison pour insolence et insubordination…
Un extraordinaire exercice que ce Detective Dee ! Et un bonheur de le voir incarné sous les traits d'Andy Lau (j'adore, j'adore). Non seulement le film est divertissant, mais il est aussi brillant, virtuose, intelligent ! Du beau et grand cinéma. Espérons vite une nouvelle aventure !!!
Detective Dee de Tsui Hark (Chine, 2010) avec Andy Lau, Carina Lau, Tony Leung Ka Fai, Bingbing Li, Chao Deng...
Libellés :
*****,
Andy Lau,
Chine,
Cinéma,
Film,
Film fantastique,
Film historique,
Film policier
Gné
1931, période de Grande Dépression aux Etats-Unis. A la suite d'une tragédie familiale, Jacob, un jeune étudiant en école vétérinaire, se retrouve subitement plongé dans la misère et rejoint par hasard un cirque itinérant de seconde classe. Il se fait accepter en échange des soins qu’il pourra apporter aux animaux et ne tarde pas à tomber sous le charme de la belle écuyère Marlena. Elle est l'épouse du directeur du cirque, un être d’une rare violence et totalement imprévisible. Derrière la beauté et la magie des spectacles, Jacob découvre un univers impitoyable et miséreux. Lorsqu’une éléphante rejoint le cirque, Marlena et Jacob se rapprochent l’un de l’autre et préparent un nouveau spectacle qui permet un temps de renouer avec le succès. Mais leurs sentiments deviennent de plus en plus perceptibles et sous les yeux d'August, cette histoire d'amour les met irrémédiablement en danger.
Voici résumé De l'eau pour les éléphants de Francis Lawrence avec Robert Pattinson, Reese Witherspoon et Christoph Waltz, où tout est religieusement académique, où le couple d'amoureux n'est pas -mais pas du tout- en osmose, où la mièvrerie l'emporte sur toute sensualité. On a l'impression que Christoph Waltz nous la rejoue Hans Landa et ce pauvre Robert Pattinson n'a toujours pas le moindre charisme et traverse tout le film avec la même expression. Les seconds rôles sont inexistants et je ne suis décidément pas fan de Reese Witherspoon. De l'eau de rose. Cu-cul la praline. Enfin, l'expression qui vous dira le mieux...
De l'eau pour les éléphants de Francis Lawrence (Etats-Unis, 2010) avec Robert Pattinson, Reese Witherspoon et Christoph Waltz
Voici résumé De l'eau pour les éléphants de Francis Lawrence avec Robert Pattinson, Reese Witherspoon et Christoph Waltz, où tout est religieusement académique, où le couple d'amoureux n'est pas -mais pas du tout- en osmose, où la mièvrerie l'emporte sur toute sensualité. On a l'impression que Christoph Waltz nous la rejoue Hans Landa et ce pauvre Robert Pattinson n'a toujours pas le moindre charisme et traverse tout le film avec la même expression. Les seconds rôles sont inexistants et je ne suis décidément pas fan de Reese Witherspoon. De l'eau de rose. Cu-cul la praline. Enfin, l'expression qui vous dira le mieux...
De l'eau pour les éléphants de Francis Lawrence (Etats-Unis, 2010) avec Robert Pattinson, Reese Witherspoon et Christoph Waltz
Libellés :
**,
Christoph Waltz,
Cinéma,
Film,
Film dramatique
mardi 23 août 2011
A Morra L
Limitless de Neil Burger
Eddie Morra rêve d’écrire, mais le syndrome de la page blanche s'est emparé de lui. Sa petite amie l'a quitté. Sa vie est un désert. Jusqu'au jour où son ex beau-frère lui fait découvrir le NZT, un produit pharmaceutique révolutionnaire qui lui permet d’exploiter son potentiel au maximum. Eddie peut désormais se souvenir de tout ce qu’il a lu, vu ou entendu ; il peut apprendre n’importe quelle langue en une journée, résoudre des équations complexes et subjuguer tous ceux qu’il rencontre – tant qu’il reste sous l’influence de cette substance qui n’a pas encore été testée. Il devient un crack de la finance mais découvre bientôt que le manque de NZT peut faire s'écrouler tout ce qu'il a construit...
Un bon polar qui m'a fait penser à un chassé croisé entre Fight Club et Strange Days. L'intrigue se situe à la limite du fantastique avec un Bradley Cooper parfait en opportuniste un tantinet amoral. Un bon divertissement qui tient la route.
Limitless de Neil Burger (États-Unis, 2011) avec Bradley Cooper, Robert de Niro, Abbie Cornish, Anna Friel...
Eddie Morra rêve d’écrire, mais le syndrome de la page blanche s'est emparé de lui. Sa petite amie l'a quitté. Sa vie est un désert. Jusqu'au jour où son ex beau-frère lui fait découvrir le NZT, un produit pharmaceutique révolutionnaire qui lui permet d’exploiter son potentiel au maximum. Eddie peut désormais se souvenir de tout ce qu’il a lu, vu ou entendu ; il peut apprendre n’importe quelle langue en une journée, résoudre des équations complexes et subjuguer tous ceux qu’il rencontre – tant qu’il reste sous l’influence de cette substance qui n’a pas encore été testée. Il devient un crack de la finance mais découvre bientôt que le manque de NZT peut faire s'écrouler tout ce qu'il a construit...
Un bon polar qui m'a fait penser à un chassé croisé entre Fight Club et Strange Days. L'intrigue se situe à la limite du fantastique avec un Bradley Cooper parfait en opportuniste un tantinet amoral. Un bon divertissement qui tient la route.
Limitless de Neil Burger (États-Unis, 2011) avec Bradley Cooper, Robert de Niro, Abbie Cornish, Anna Friel...
Libellés :
***,
Bradley Cooper,
Cinéma,
Film,
Film fantastique,
Film policier,
robert de niro
lundi 22 août 2011
Ave Cesar
La Planète des Singes : les origines (Rise of the Planet of the Apes) est un prequel à La Planète des Singes. Le film est plutôt très réussi, très intelligemment amené. Andy Serkis, sous le masque numérique de César, donne toute son humanité magnifique au film. Loin d'un gros blockbuster d'action, l’œuvre ne fait pas honte au magnifique roman de Pierre Boulle et au film de Franklin J. Schaffner, au contraire...
Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.
La Planète des Singes : les origines de Rupert Wyatt (Etats-Unis, 2011) avec James Franco, Andy Serkis, John Lithgow, Freida Pinto, Tom Felton, Brian Cox...
Libellés :
****,
Andy Serkis,
Film,
Film de science fiction
Inscription à :
Articles (Atom)