Casting : Nick Cage, mon chouchou du moment Adam Beach, Mark Ruffalo et Peter Stormare.
Bon. C'est du lourd. Un peu dans tous les sens du terme. Dans le genre, on n'est pas très loin du Dernier Samouraï, grand navet devant l'Eternel. Enfin, c'est toujours un peu la même histoire : le soldat traumatisé d'avoir obéi à des ordres odieux, qui ne s'en remet pas et qui court après la mort... Bref, pas grand chose de neuf...

Pour la mise en scène, John Woo ne s'est pas cassé la binette et nous pond un film de guerre plan-plan. Rien d'extraordinaire. Quant au message, s'il n'y a pas de propagande pro-américaine dans tout ça...
En gros, j'ai pas vraiment aimé...
Le sujet : En 1944, durant la Seconde Guerre mondiale, face à l'ennemi japonais, les Etats-Unis ont utilisé une méthode de codage : le langage Navajo, uniquement compris et parlé par certains soldats amérindiens. Ces code talkers transmettaient les messages codés entre les bases américaines disséminées sur les îles du Pacifique.
Le marine Joe Enders sort blessé d'une bataille sanglante sur les îles Salamon. Après avoir récupéré dans un hôpital, il est chargé d'une nouvelle mission consistant à assurer la sécurité de deux soldats navajos, Ben Yahzee et Charlie Whitehorse, et à "protéger le code à tout prix" pour l'empêcher de tomber aux mains de l'ennemi. En clair : sacrifier, si besoin est, leurs frères d'armes. Durant ce périple, Joe se voit accompagner d'Ox Anderson et d'autres soldats. En pleine bataille de Saïpan, des liens d'amitié se tissent entre les Navajos et leurs "anges gardiens".
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