The Artist de Michel Hazanavicius
Faisant abstraction de Cannes, des Golden Globes et des Oscars, c'est un bel hommage à Hollywood et au cinéma muet. Une comédie mélodramatique où résonne un silence délicat. De bons acteurs. Un film sympathique mais pas inoubliable pour moi...
Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui
tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans
l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au
firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins
croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être
autant d'obstacles à leur histoire d'amour.
The Artist (France, Etats-Unis, 2011) de Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo, John Goodman, James Cromwell, Missy Pyle, Penelope Ann Miller...
samedi 28 janvier 2012
Hollywood
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Jean Dujardin
mercredi 18 janvier 2012
James + Derek + Pete + Paul + Brian + James !
Vu plusieurs films ces derniers temps. Des petits films de genre notamment...
Commençons par Le Sang des Templiers que je n'ai regardé que parce que le casting était chouette : James Purefoy, Derek Jacobi, Paul Giamatti et Brian Cox. Après le Robin des Bois de Ridley Scott, après une histoire d'autres templiers avec l'indécrottable Nick Cage et récemment le très bébette Centurion, une nouvelle histoire de gars du Moyen Age vachement énervés. Super sanglant (trop) et scénarisé avec des grosses ficelles, mais au bout du compte, ça se laisse regarder quand même et c'est déjà pas si mal...
Et j'ai enchainé avec Solomon Kane. Je fais souvent ça. Je regarde à la suite des productions où figure un même acteur. Là, en l’occurrence, James Purefoy, qui est aussi au casting de ce film là... Ca lorgne du côté du 13e guerrier de John McTiernan et on retrouve le grand Pete Postlethwaite dans l'un de ses derniers rôles... Moi, ça m'a fait penser aux Chroniques de Riddick, je ne sais pas trop pourquoi. Le réalisateur n'est pas un génie, mais bon, il y a James et Pete et si cela plaira surtout aux amateurs du genre, je n'ai pas détesté...
Le Sang des Templiers (Ironclad) de Jonathan English (Grande-Bretagne/USA, 2011) avec James Purefoy, Derek Jacobi, Brian Cox, Kate Mara, Paul Giamatti, Jason Flemyng...
Solomon Kane de Michael J. Bassett (USA, 2009) avec James Purefoy, Pete Postlethwaite, Alice Kridge, Rachel Hurd-Wood, Max Von Sydow, Jason Flemyng...
Commençons par Le Sang des Templiers que je n'ai regardé que parce que le casting était chouette : James Purefoy, Derek Jacobi, Paul Giamatti et Brian Cox. Après le Robin des Bois de Ridley Scott, après une histoire d'autres templiers avec l'indécrottable Nick Cage et récemment le très bébette Centurion, une nouvelle histoire de gars du Moyen Age vachement énervés. Super sanglant (trop) et scénarisé avec des grosses ficelles, mais au bout du compte, ça se laisse regarder quand même et c'est déjà pas si mal...
Et j'ai enchainé avec Solomon Kane. Je fais souvent ça. Je regarde à la suite des productions où figure un même acteur. Là, en l’occurrence, James Purefoy, qui est aussi au casting de ce film là... Ca lorgne du côté du 13e guerrier de John McTiernan et on retrouve le grand Pete Postlethwaite dans l'un de ses derniers rôles... Moi, ça m'a fait penser aux Chroniques de Riddick, je ne sais pas trop pourquoi. Le réalisateur n'est pas un génie, mais bon, il y a James et Pete et si cela plaira surtout aux amateurs du genre, je n'ai pas détesté...
Le Sang des Templiers (Ironclad) de Jonathan English (Grande-Bretagne/USA, 2011) avec James Purefoy, Derek Jacobi, Brian Cox, Kate Mara, Paul Giamatti, Jason Flemyng...
Solomon Kane de Michael J. Bassett (USA, 2009) avec James Purefoy, Pete Postlethwaite, Alice Kridge, Rachel Hurd-Wood, Max Von Sydow, Jason Flemyng...
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samedi 7 janvier 2012
Chef d'oeuvre
Une vie tout neuve d'Ounie Leconte, œuvre largement autobiographique :
Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans. Son père la place dans un orphelinat tenu par des sœurs catholiques. Commence alors l'épreuve de la séparation et la longue attente d'une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptées laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées. Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d'une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu'elle aime.
Un film d'une pudeur extrême, emmené par la jeune Kim Saeron, formidable. Un film bouleversant, sincère, remarquable, tout en nuances. Un film indispensable pour essayer de comprendre la violence de l'abandon. Une œuvre incroyablement puissante. Inoubliable...
Une Vie toute neuve (Corée du Sud-France, 2008) avec Kim Saeron, Park Doyeon, Park Myeong-Shin...
Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans. Son père la place dans un orphelinat tenu par des sœurs catholiques. Commence alors l'épreuve de la séparation et la longue attente d'une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptées laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées. Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d'une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu'elle aime.
Un film d'une pudeur extrême, emmené par la jeune Kim Saeron, formidable. Un film bouleversant, sincère, remarquable, tout en nuances. Un film indispensable pour essayer de comprendre la violence de l'abandon. Une œuvre incroyablement puissante. Inoubliable...
Une Vie toute neuve (Corée du Sud-France, 2008) avec Kim Saeron, Park Doyeon, Park Myeong-Shin...
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