Back in the seventies pour Soleil Vert de Richard Fleischer, Grand Prix du festival d'Avoriaz 1974. Un film qui a plutôt vieilli mais efficace, d'une redoutable actualité, bien sûr et qui fait froid dans le dos. Noir et visionnaire.
jeudi 5 mai 2011
Anticipation
En 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seul le soleil vert, aliment produit à grande échelle, parvient à nourrir une population miséreuse. Omniprésente et terriblement répressive, la police assure l'ordre. Accompagné de son fidèle ami, un policier va découvrir, au péril de sa vie, l'effroyable réalité de cette société inhumaine.
Back in the seventies pour Soleil Vert de Richard Fleischer, Grand Prix du festival d'Avoriaz 1974. Un film qui a plutôt vieilli mais efficace, d'une redoutable actualité, bien sûr et qui fait froid dans le dos. Noir et visionnaire.
Soleil Vert de Richard Fleischer (Etats-Unis, 1973) avec Charlton Heston, Edward G. Robinson, Joseph Cotten, Leigh Taylor-Young, Chuck Connors, Lincoln Kilpatrick...
Back in the seventies pour Soleil Vert de Richard Fleischer, Grand Prix du festival d'Avoriaz 1974. Un film qui a plutôt vieilli mais efficace, d'une redoutable actualité, bien sûr et qui fait froid dans le dos. Noir et visionnaire.
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Film de science fiction
mercredi 4 mai 2011
Moi Tarzan, toi Jane
Je me suis aussi repassé La Planète des Singes (je suis lancée dans les films avec Charlton Heston ces jours ci j'ai l'impression). Le film de Franklin J. Schaffner of course et pas le très mauvais film de Tim Burton.
Quelle grande, grande œuvre ! Je suis toujours soufflée par ce film, de son tout début à son immense final. Sacrée fable qui donne des frissons à chaque fois. Et puis, bon, moi, je dois bien avouer que j'aime bien Charlton Heston, malgré vous savez quoi. C'était un rudement bon acteur quand même...
A noter qu'un film intitulé Rise of the planet of the apes de Rupert Wyatt (avec Freida Pinto et James Franco) et qui sort en août prochain est un prequel à l'histoire inventée par Pierre Boulle. La bande annonce fait envie !
L'histoire : Un engin spatial américain se crashe au 40e siècle de notre ère sur une planète inconnue. Taylor, le capitaine du vaisseau, et deux de ses hommes, découvrent que des singes très évolués règnent sur ce monde et ont mis en esclavage des hommes primitifs...
La Planète des Singes (Planet of the Apes) de Franklin J. Schaffner (Etats-Unis, 1967) avec Charlton Heston, Roddy McDowall, Kim Hunter, Linda Harrison, Maurice Evans...
Quelle grande, grande œuvre ! Je suis toujours soufflée par ce film, de son tout début à son immense final. Sacrée fable qui donne des frissons à chaque fois. Et puis, bon, moi, je dois bien avouer que j'aime bien Charlton Heston, malgré vous savez quoi. C'était un rudement bon acteur quand même...
A noter qu'un film intitulé Rise of the planet of the apes de Rupert Wyatt (avec Freida Pinto et James Franco) et qui sort en août prochain est un prequel à l'histoire inventée par Pierre Boulle. La bande annonce fait envie !
L'histoire : Un engin spatial américain se crashe au 40e siècle de notre ère sur une planète inconnue. Taylor, le capitaine du vaisseau, et deux de ses hommes, découvrent que des singes très évolués règnent sur ce monde et ont mis en esclavage des hommes primitifs...
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Une année en Provence
Une Grande Année de Ridley Scott, c'est le film que j'avais regardé dans l'avion pour aller en Chine chercher notre fille. En fait, j'en ai vu un bout à l'aller et le reste au retour. Mais super décousu quand même (impossible de faire pause, son pourri, sans arrêt interrompue...). Alors le film est gentillet et prévisible et n'est pas l'œuvre du siècle mais j'y trouve un certain charme et j'ai eu plaisir à le (re)voir. Et puis Russell Crowe, c'est pas ma faute comme dirait Alizée ! Je l'adore !
L'histoire : Max Skinner, un banquier d'affaires anglais, hérite du vignoble provençal où il passait autrefois ses vacances d'été aux côtés de son oncle, qu'il n'avait pas revu depuis des années. Max se rend en France pour liquider cet héritage et retourner rapidement à son travail. Mais sur place, les souvenirs affluent...
Une Grande Année (A Good Year) de Ridley Scott (Etats-Unis, 2006) avec Russell Crowe, Albert Finney, Marion Cottillard, Didier Bourdon, Tom Hollander, Abbie Cornish, Freddie Highmore, Archie Panjabi, Valeria Bruni Tedeschi, Isabelle Candelier...
mercredi 27 avril 2011
Circus !

Je l'avais vu il y a bien longtemps, comme beaucoup, un après-midi de vacances (ou de jour férié) et c'est toujours un grand bonheur. Je suis ultra fan ! Un beau film sur les coulisses d'un grand cirque, un bel hommage à ces personnes qui voyagent pour faire rêver petits et grands. Des scènes spectaculaires et de grands acteurs. Et l'Oscar du meilleur film 1952. Par contre, pas d'édition Blu-Ray à priori, ce qui est dommage car l'édition DVD que j'ai acheté est particulièrement pourrie niveau qualité...
L'histoire : Brad Braden, manager d'un grand cirque, engage Sébastian, un trapéziste star pour redorer le blason de son entreprise en perte de vitesse. Brad laisse Sébastian prendre la place de Holly, jusqu'alors trapéziste vedette et amoureuse de Brad, sur la piste centrale...
Un petit extrait :
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lundi 25 avril 2011
Vivien Leigh
Elle m'a toujours fait rêver. Elle a toujours été ma préférée depuis que je l'ai rencontrée au détours de ma première vision d'Autant en emporte le vent. J'ai découvert une actrice prodigieuse, à l'époustouflante beauté. J'ai aussi découvert sa déchirante personnalité. J'admire Vivien Leigh pour toutes ces raisons. Elle me touche plus qu'aucune autre.

Elle se marie en 1932 avec Herbert Leigh Holman, de qui elle a une fille l'année suivante. Elle démarre sa carrière au théâtre. The Mask ou Virtue lui apporte la reconnaissance. En 1935, elle débute au cinéma avec des films comme The Village Squire, Things are Looking Up et Look Up and Laugh.
En 1937, elle tombe amoureuse de son partenaire de L'Invicible Armada, Laurence Olivier. Ils débutent une liaison alors qu'ils sont tous les deux mariés de leur côté.
À cette période, Vivien Leigh lit Autant en emporte le Vent de Margaret Mitchell. Elle demande à son agent américain de souffler son nom à David O'Selznick, qui en prépare l'adaptation. Elle le fit remarquer à un journaliste, "Je me suis moi-même choisie pour être Scarlett O'Hara"...
Vivien joue ensuite le rôle d'Ophélie dans l'adaptation d'Hamlet par Olivier dans une production londonienne. C'est durant cette session que l'acteur découvre ses brusques changements d'humeur alors qu'elle se préparait à entrer sur scène. Sans raison apparente, elle commença à lui crier au visage, avant de plonger dans le silence, le regard vide. Elle joua ensuite parfaitement son rôle et avait oublié l'incident le jour suivant. Ils commencèrent à vivre ensemble, sans obtenir ni l'un ni l'autre le divorce de leurs conjoints.
Peu à peu, sa carrière prend forme au cinéma mais Vivien est perçue dès lors comme une actrice difficile et incontrôlable.
En 1938, Olivier part pour les États-Unis tourner Les Hauts de Hurlevent de William Wyler, adapté du roman d'Emily Brontë. Pendant ce temps, Vivien est secrètement sélectionnée par David O'Selznick -qui vient de la voir dans A Yank at Oxford- pour interpréter Scarlett O'Hara. Jusqu'au dernier moment, Selznick garde le secret. Paulette Godard voit le rôle lui passer sous le nez après des mois et des mois d'essais où tout laissait à penser qu'elle serait l'heureuse élue...
En 1940, Vivien divorce de Holman et épouse Olivier. Elle obtient cette même année son premier Oscar de la meilleur actrice pour le rôle de Scarlett.
En 1944, on diagnostique à Vivien la tuberculose.
Elle continue pourtant sa carrière, notamment avec César et Cléopâtre en 1946 et Anna Karenine en 1948.
En 1952, elle remporte son second Oscar pour Un Tramway nommé Désir d'Elia Kazan.
Au début des années 1960, Vivien souffrit de deux fausses couches et la gravité de sa maladie l'invalida. Elle fut aussi tourmentée par une maladie maniaco-dépressive, laquelle était vue comme un facteur d'échec pour soigner sa maladie.
Le 2 décembre 1960, Olivier et elle divorcèrent à cause d'une infidélité d'Olivier avec l'actrice Joan Plowright, qu'il épousa ensuite. Vivien continua à garder une photo de lui sur sa table de chevet, bien qu'elle vécût désormais avec un nouveau compagnon, Jack Merivale.
Vivien succomba à une tuberculose chronique en 1967. Elle possède une étoile au Hollywood Walk of Fame.
samedi 23 avril 2011
Opening
J'ai trouvé sur Internet des classements des "meilleurs" génériques télé. Perso, je trouve ces classements ultra perso et avec encore et toujours celui de Dexter dans les premières places (ce qui m'agace prodigieusement...).
Bref, sans prétendre à aucun classement, juste pour le plaisir, voici quelques uns de ceux que j'aime revoir et réécouter (associé bien sûr au plaisir que j'ai eu à regarder les séries associées), dans le désordre :
Bref, sans prétendre à aucun classement, juste pour le plaisir, voici quelques uns de ceux que j'aime revoir et réécouter (associé bien sûr au plaisir que j'ai eu à regarder les séries associées), dans le désordre :
Ally McBeal
Les mystères de l'Ouest
Big Love
Quantum Leap (Code Quantum)
That 70's show
Buffy, the vampire slayer
mercredi 20 avril 2011
Merci pour le chocolat
Les Emotifs Anonymes est un film de Jean-Pierre Améris sur les timides, les phobiques de la société, les émotifs.
L'histoire : Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière de talent, sont deux grands émotifs.
C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.
Le film est cocasse et gentillet. Carré et Poelvoorde parviennent à nous faire rire et à nous émouvoir en un clin d'œil et de manière très subtile. C'est assez court (le film ne dure qu'1h15) et on reste avec l'impression qu'il manque un peu de profondeur à tout cela, mais on passe un joli moment avec deux merveilleux acteurs...
Les émotifs anonymes de Jean-Pierre Améris (France, 2010) avec Isabelle Carré, Benoît Poelvoorde, Lorella Cravotta, Lise Lametri...

C’est leur passion commune pour le chocolat qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans oser se l’avouer. Hélas, leur timidité maladive tend à les éloigner.
Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.
Le film est cocasse et gentillet. Carré et Poelvoorde parviennent à nous faire rire et à nous émouvoir en un clin d'œil et de manière très subtile. C'est assez court (le film ne dure qu'1h15) et on reste avec l'impression qu'il manque un peu de profondeur à tout cela, mais on passe un joli moment avec deux merveilleux acteurs...
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